Sherlock Holmes et son très cher Watson se réjouissaient de passer leur journée à l'abris de la pluie, dans le confortable salon du 221b, lorsqu'un énergumène paniqué vint perturber leur tranquillité. L'énergumène en question s'avère être Arthur Conan Doyle, l'agent littéraire de Watson, venu les charger d'une affaire bien étrange: ses amis, le journaliste Malone et l'exubérant professeur Challenger, ont disparus. Tout ce qu'on sait, c'est qu'avant de se volatiliser dans la nature, ils menaient une enquête sur les cercles de spirites dans Londres... Sous la pluie qui l'écrase, Londres se pare d'accents bien mystérieux. Holmes a-t-il raison de penser que les fantômes n'importunent jamais les vivants? Et surtout, surtout, les morts sont-ils le plus à craindre? Victorian Johnlock : attention, scènes à caractère sexuel explicite... PS: Les personnages sont les originaux de Conan Doyle, auxquels vous pouvez donner tous les visages que vous désirez ;) Vous n'êtes pas obligés d'avoir lu les livres pour comprendre. L'image utilisée sur la couverture ne m'appartient pas.

Le plus grand détective consultant de Londres s'ennuie. Malgré la compagnie de son très cher Watson, jour après jour, ce sont les mêmes affaires monotones... Jusqu'à ce qu'un nom lui parvienne. Jusqu'à ce qu'une silhouette se découpe dans l'ombre, près, tout près de lui. Moriarty. Commence alors un étrange jeu de fascination et de pouvoir... Watson... Moriarty... Que c'est-il vraiment passé au chutes de Reinchenbach? Ps: les personnages sont les originaux de Conan Doyle, auxquels vous pouvez donnez tous les visages que vous voulez ;) L'image utilisée pour la couverture ne m'appartient pas.

Voici un Johnlock victorien tout en "pudeur" avec du lemon et des enquêtes ( rat de sumatra, Moriarty...). Il sera question de relations homosexuelles parfois très explicites, si vous n'aimez pas ce genre de lecture, passez votre chemin ! 😉 Si vous avez des critiques et/ou conseils constructifs, n'hésitez pas ! Je ne demande qu'à m'améliorer. Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas. Ils sont l'œuvre de Sir Arthur Conan Doyle. Seules l'histoire et l'illustration de la couverture sont de ma main. Bonne lecture !

Un très vieil ennemi de Sherlock refait surface, bien déterminé à prendre sa vengeance. Et pour cela, quoi de mieux que de s'attaquer à ce que le sociopathe a de plus cher... même s'il n'en a pas encore conscience ? Car qui a t-il de plus illogique, pour un détective consultant ultra rationnel, que l'amour? ---- Ceci est ma première fanfic bxb, écrite directement sur téléphone il y a quelques années... Je la laisse surtout pour tous les commentaires, mais je n'en suis pas spécialement fière :/ n'hesitez pas à fait un tour sur mes fanfics plus récentes ! :D --- PS: Une couverture réalisée par Mega_Poo !! L'image utilisée ne m'appartient pas.

C'est étrange comme les jours où tout dérape commencent normalement. À posteriori, on se remémore les gestes, les mimiques, les regards, on inspecte chaque instant en espérant y déceler un indice... La vérité, c'est qu'on ne peut jamais savoir. Jamais prévoir. Ce qui est à la fois terriblement excitant et absolument terrifiant, quand on y pense. Il y avait eu beaucoup de matins innocents, dans mon existence, qui s'étaient avérés trompeurs. Mais aucun, non, aucun de ces faux départs n'atteindra jamais le jour où j'ai couché avec Holmes pour la première fois. ~ ~ ~ L'histoire d'une première fois entre Holmes et Watson, avec deux points de vue. Les personnages sont les originaux de Conan Doyle, auxquels vous pouvez donner tous les visages que vous le souhaitez... !! Attention, scènes à caractère sexuel explicite !! -- L'image utilisée sur la couverture a été dessiné par lae génial I Really Shoul Be Drawing que vous pouvez trouver sur Tumblr :)

Qui eut cru possible que le simple et ennuyeux Jhon Watson possède un admirateur et bien plus fidèle que ceux de Sherlock. Enfin, rien n'est jamais beau pour lui, alors que viens chercher ce fan à Baker street ?

Suite à un différent avec Holmes, Watson part seul en vacances, dans un petit village perdu du Sussex. Holmes s'ennuie et s'inquiète de son silence... Jusqu'à ce qu'un matin, le Times titre en grosses lettres: Le docteur John. H. Watson retrouvé assassiné. Holmes, horrifié, saute dans le premier train... Que s'est-il passé cette nuit-là? Watson est-il vraiment mort? S'il se savait en danger, pourquoi ne pas l'avoir appelé à l'aide? Et non loin, dans les ruines du vieux château de Bodiam, un fantôme hurle sa peine... PS: les personnages sont les originaux de Conan Doyle, auxquels vous êtes libres de donner tous les visages que vous souhaitez :) Ancien titre : "Le Meurtre du Sussex"

Au 221b Baker Street, à Londres, réside le détective consultant le plus génial du monde (le seul aussi), avec son très cher Watson, médecin, biographe, et ami intime... Les personnages sont ceux de Doyle, auxquels vous pouvez prêter tous les visages que vous souhaitez. Je préviendrai en début de chapitres s'il y a lemon ;) -- L'image utilisée sur la couverture ne m'appartient pas.

I: John organise pour Sherlock une chasse aux œufs qui dérape quelque peu... II : Le docteur Watson est bien déprimé aujourd'hui. Lui redonner le sourire s'annonce compliqué... Mais impossible n'est pas Sherlock! III: Sherlock ne croit pas aux coïncidences. Comme il aime à le répéter, l'univers n'est pas si paresseux. Mais cela signifie-t-il pour autant qu'il ne croit en rien ? IV: Sherlock revient d'entre les morts... V: Quelqu'un a envoyé une rose à John! Sherlock - jaloux - mène l'enquête. VI: Halloween au 221b... VII: Sherlock s'est toujours sentit seul. Mais pour Noël, John décide de lui faire comprendre que les choses ont changé... VIII: Sherlock ne peut rien emporter dans sa fuite, lorsque tous le croient mort. Pas même un portrait. -- L'image utilisée sur la couverture ne m'appartient pas.

Tout avait si bien commencé. L'éternel salon de Baker Street, une enquête, du soleil, un Holmes de bonne humeur, et un docteur rayonnant. Mais l'obscurité ne faisait qu'attendre son heure. Malmené de bout en bout, miné par ses erreurs, Watson s'enfonce en silence dans une spirale de culpabilité et de doute. Seul Holmes pourrait le sortir de là. Encore faudrait-il qu'il ouvre les yeux... Avant qu'il ne soit trop tard. -- L'image utilisée sur la couverture ne m'appartient pas.