Bakugou Katsuki a beaucoup changé depuis le jour où il a eu un vertige en cours et qu'il s'est évanoui. Depuis, il est devenu plus distant, ne répond plus à ses appels et messages et surtout, ses crises de colères qui étaient devenues habituelles ne le sont plus. Oui parce qu'elles sont devenues très rares, mais beaucoup plus violentes en même temps. Il inquiète tout le monde. Izuku en premier. Cette personne qu'il déteste depuis son enfance essaye de l'aider tant bien que mal. Découvrira-t-il la vérité ? Tout prouvait que tout se passait bien avant cet événement qui a tout basculé, et pourtant...

Fatigué par ses cours, ses révisions et son petit boulot, Izuku est complètement dépassé. Il lutte. Sa mère, se rendant compte de l'épuisement de son fils, décide de l'emmener avec elle pendant l'été dans un club de vacances. Bien décidé à lui faire retrouver des couleurs et sa joie de vivre, elle ne lui ordonne qu'une seule chose: "Profiter et ne pas penser à son retour". Tout démarre plutôt bien, jusqu'à ce qu'il se retrouve nez à nez avec un vieux souvenir aux yeux rouge. Et merde, ça faisait presque 7 ans qu'il ne l'avait pas vu ! Histoire d'été, c'est un KatsuDeku ou DekuKatsu (peu importe ^^) C'est une UA, les alters sont donc inexistant. Disclaimer: Cette histoire sort de ma tête mais les personnages appartiennent à Kõhei Korikoshi ! Voilà voilà, très bonne lecture :)

Lundi 8 avril, 8h00, Tokyo, pdv Izuku. Ce métro va beaucoup trop vite. J'ai toujours eu le mal des transports. Mais je n'ai trouvé que ce travail, et malheureusement il se situe à 30 minutes de chez moi, en métro. En effet je n'ai que très peu de compétences. Je bosse au McDonald's en tant qu'Équipier Polyvalent, c'est vraiment galère. Les Managers sont horribles, les autres équipiers plus expérimentés insupportables, et je ne parle pas de la paye. Je lève les yeux vers les vitres sales du métro. Encore une journée pluvieuse. Encore une journée de merde. Lundi 8 avril, 9h 55, Tokyo, pdv Shoto. - Putain de réveil de merde. Pourquoi. Ça n'arrive. Qu'à. Moi. - Putain de réveil de merde. J'arriverais une fois encore en retard. Déjà 5 fois ce mois ci. Nous sommes le 8 avril. Je prends ma douche en vitesse, et saute le petit déj, de toute façon je n'ai pas le temps. Je m'habille en deux-deux, avec les fringues de la veille, un petit jean slim et une chemise blanche. Merde. Elles puent la sueur. Je sors de chez moi en courant, cours jusqu'à l'arrêt de bus, et le vois partir sous mes yeux. - Putain de journée de merde.