Quelle était donc ces larmes, ces sentiments si peut correcte à mes manières. Ma mémoire c'était effondrer peut à peut et tout ce qui m'était rester étais des souvenirs assez flous. Comme si elle m'avait bloqué la porte à plusieurs années de mon enfance ? Il faut que j'arrête de divaguer, je dois me concentrer même si cela veut dire entravé une certaine liberté, la privacité. Je ne pouvez plus revenir sur mes choix j'était au point de non retours. Il fallait, il le fallait, il fallait que je le sache

Ses oreilles bourdonnaient, elle devait sortir le plus rapidement de cette fête qui lui tapait sur la tête. Elle prit donc la direction de la forêt. Elle se dirigeait en direction de sa maison, ses talons à la main, ça la rassurait de sentir l'herbe lui frôler les pieds et de sentir la terre s'écraser quand elle passait. Tout d'un coup, sous un coup d'adrénaline, elle courut le plus vite qu'elle put mais un caillou rencontra son chemin, elle ne pouvait plus se lever et ne captait aucun signal. Elle se retrouva entouré par les robuste chênes et les cris des hiboux ; elle, toujours sûr d'elle, pour la première fois ressentait un sentiment dont elle avait peu l'habitude : la peur. Des frissons lui parcoururent le corps en une fraction de seconde, quand elle se retrouva nez à nez avec Chris. Plein de questions lui traversèrent l'esprit : pourquoi l'avoir suivi, est-ce-que Rebecca allait bien ? Ces poils s'hérissèrent, quand elle comprit ce qui s'était passé et elle ne put retenir ses larmes.