Rosana, une jeune étudiante italienne, débarque au Colorado pour poursuivre ses études, mais son entrée dans ce nouvel univers est violemment perturbée a cause d'une attaque brutale, calculée par un puissant gang, visant son université. C'est lors de cet événement troublant que Rosana croise le chemin d'Elio, un membre du gang, qu'elle a déjà vu quelques part, dont la personnalité est totalement opposée à la sienne. Alors que Rosana est rebelle et audacieuse, Elio est détaché de ses émotions, calculateur et froid. Dans son monde l'attraction et le danger s'entremêlent, la confiance est rare et les masques dissimulent d'obscurs secrets. Rosana et Elio, deux âmes aux secrets sombres, se retrouvent liées malgré leurs différences. _____________________ #1 book ••• JE SUIS RESPONSABLE DE CE QUE J'ECRIS. MAIS PAS DE CE QUE VOUS LISEZ. ••• TW : cette histoire contient du contenu « mature » - des scènes de violence - de sang - tortures - agressions physiques et mentales - anxiété - mutilation (122-4) : le plagiat est strictement interdit et punissable par la loi

Aslan Dell'Era, revendique fièrement le titre d'héritier et chef d'une puissante famille mafieuse italienne mais pas uniquement. Il s'illustre comme étant l'impitoyable héritier de l'un des clans yakuza les plus meurtriers et les plus dangereux du Japon.Aslan règne en maître sur l'Italie toute entière et exerce sa suprématie dans celle-ci grâce à ses différents trafics. Lorsqu'il rencontre l'audacieuse et téméraire, Ayhan, une ancienne tueuse à gage, elle chamboule l'ordre établi au sein de la mafia italienne et du monde de Aslan.

[TOME 2] EN RÉECRITURE

Le poids d'un secret et une seule journée pour tout faire basculer. Alors qu'elle ne cherchait qu'à fuir son chaos familiale, son destin s'emmêle à celui de Côme. Qui n'est d'autre que le fils du plus dangereux maître de la contrebande américaine. Mais rien ne garanti que sur son chemin, Mariposa réussisse à s'échapper de ses griffes. Mariposa x Côme : Petit coeur papillon. 𝙹'𝚊𝚒𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚋𝚒𝚎𝚗 𝚝𝚎𝚜 𝚢𝚎𝚞𝚡 𝚗𝚘𝚒𝚛𝚜 𝚌𝚊𝚛 𝚜𝚘𝚞𝚟𝚎𝚗𝚝, 𝚒𝚕𝚜 𝚖𝚎 𝚛𝚊𝚙𝚙𝚎𝚕𝚊𝚒𝚎𝚗𝚝 𝚚𝚞'𝚒𝚕 𝚗'𝚢 𝚊𝚟𝚊𝚒𝚝 𝚙𝚊𝚜 𝚚𝚞𝚎 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚖𝚘𝚗 𝚌œ𝚞𝚛 𝚚𝚞'𝚒𝚕 𝚗'𝚢 𝚊𝚟𝚊𝚒𝚝 𝚙𝚕𝚞𝚜 𝚍𝚎 𝚕𝚞𝚖𝚒𝚎̀𝚛𝚎.