Lien de l'album de la chronique sur facebook : https://www.facebook.com/media/set/?set=a.352614821498393.84288.352610491498826&type=3 JE PRECISE QUE LA CHRONIQUE N'A PAS ÉTÉ ÉCRITE PAR MOI

« L'avion s'est craché dans l'eau, j'étais à moitié morte mais tout ce qui m'importais c'était lui. Je l'ai cherché dans l'eau et je l'ai trouvé. Mais il était déjà plus conscient. On était bien profond dans l'eau, je savais plus quoi faire. J'avais même pas de force pour me remonter moi. Tout ce que je me souviens c'est d'avoir été dans les bras d'un homme et d'avoir tousser à fond sur une plage entourer de personne. » Une histoire d'amour en prison c'est possible? Si seulement on m'avait dit qu'une simple histoire d'amour rapporterai autant de problèmes.... ........ Assna- Devine comment je me suis attachée, moi-même je sais pas....

« Une facette attirante d'un homme ne fait pas de lui ce qu'on croit ... Et un homme rallié à la rue le reste toute sa vie. » CECI EST UNE REPRISE FACEBOOK.

Ce n'est pas moi qui l'a écrit cette chronique Histoire VRAIES

Qui doit se retrouver se retrouvera... Et on vivra heureux, Malgré nos disputes, nos familles ennemies et nos religions différentes Car notre amour est infini et spécial. (histoire fictive)

Lorsque Amina une maghrébine d'origine algérienne vie son train de vie quotidien d'une jeune adolescente de 17 ans qui vie dans une citée une mauvaise nouvelle va venir bouleversé sa vie à tout jamais . Quels seront les répercussions ? Que va t'il ce passer dans sa vie ? Venez suivre les péripéties que Amina va devoir traversé seule pour son jeune âge . Publiée le 08/02/2015 ✔️ Chronique Terminée ✔️

« Chaque jour, je dois récupérer des armes, de la drogue, commettre des assassinats pour le compte de mon père, Ahmed, et de son gang. Mon géniteur est mon pire bourreau. Il m'a élevée dans l'optique d'être une tueuse. Son but : faire de moi son petit soldat. Malgré ce qu'il m'a fait endurer, je lui reste dévouée. Même lorsqu'il m'envoie dans une prison où est détenu l'un des plus grands criminels du pays, afin de découvrir ce qu'il dissimule... » Kiara doit connaître les intentions d'Amir Ben Khalif, un caïd qui inspire respect et crainte à tous les gangs. Mais, lorsqu'Amir croise la jeune femme, c'est l'explosion : deux machines de guerre psychotiques qui se détestent autant qu'elles s'attirent. Amir est lancé dans une quête qui mettrait à mal toutes les organisations criminelles internationales. Kiara est malgré elle impliquée dans cette quête périlleuse. Leur avenir commun est à présent scellé même s'ils ne le savent pas... Kiara disponible en librairie le 16 mai !

《On ne choisit pas les circonstances de notre venue au monde, on ne choisit pas nos parents et encore moins notre famille. On ne choisit pas son destin, on le subit ou on vit avec. Mais j'ai décidé de remercier Allah pour ce qu'il m'a donné et de vivre ma vie du mieux que je le pouvais... seule ou avec lui. 》 ⚠️Disclaimers⚠️ : - Les premières parties ont été écrites en 2016. - Inspirée d'une histoire (pas la mienne) et de faits réels (+du fictif biensur)

« Y'a eu des bons moments mais beaucoup moins qu'ceux noirs » Chronique réelle avec des passages fictifs.

« Hasan remet mes cheveux en place et me fait un sourire rassurant. Hasan : on va s'en sortir *sourire* Sofiane : au moins un qui est confiant Hasan lui lance un regard noir puis se retourne vers moi l'air rassurant. Hasan : Ca va ? Moi : oui *respire* Je panique juste un peu Je bouge un peu et je tombe en arrière donc je suis à découvert, un des gars me voit et me tire dessus, hamdoulilah j'ai reçu la balle dans le bras mais wallah j'ai hurlé ma douleur. Hasan me chope et me relève pour que je me remette à l'abris, il regarde ma blessure paniqué et d'un coup son regard s'assombris, il charge son arme. Hasan : *regard noir* JE VAIS LEUR NIQUER LEUR MERE ! Il se lève et part en courant en tirant de partout. Moi : HASAAAAN ! » Je pensais que l'histoire de mes parents me servirait de leçon. Que j'éviterais les gars pleins de problèmes qui ne fonctionne que par la loi du plus fort mais on dirais que j'avais tord.