Alastor pouvait faire une liste non exhaustive de ses ennuis. Petit un : la guerre civile en Enfers était aux portes de son village. Petit deux ? Les réfugiés du conflit susmentionné le détestaient. Petit trois : Cassandra lui cassait les pieds. Ses comptes étaient à sec, son banquier furieux et Svenn ne se réveillait toujours pas. Rajoutez à cela la menace de Lucifer, et vous obteniez un Bourreau de très, très mauvais poil. Merci à @Momonaa pour la couverture.

Alyara, 16 ans, est une humaine née sur Pandora. Elle a grandi au près du peuple du récif, les Metkayina. Mais étant humaine, le sang du démon coule dans ses veines et le peuple avec lequel elle cohabite ne la voit toujours pas comme l'une des leurs. Mais un jour, sa vie va basculer lorsque le légendaire Toruk Makto débarquera au village de Awa'atlu avec sa famille pour y demander Otulu. - Ceci est une fanfiction du film Avatar : La voie de l'eau. J'y change certain points scénaristique et j'y ajoute surtout un personnage féminin (qui aura une romance avec Neteyam pour ceux qui voulaient savoir). Toujours en ce qui concerne les personnages, ils ne m'appartiennent pas, sauf celui d'Alyara que j'ai inventée. Je vous demanderais de ne pas récupérer ce personnage sans mon autorisation et de ne pas reprendre mon histoire, merci.

Son doigt effleura ma peau. Froid et chaud à la fois. M'électrisant au simple contact. Il traça la courbe légère de ma nuque, dessinant du bout des doigts les marques blanches qui parcouraient désormais tout mon corps. Mes yeux n'arrivaient pas à se détacher des siens. Ils étaient noirs. Noirs d'un désir que je ne comprenais encore que peu. Ses ailes battaient légèrement dans son dos comme pour me rappeler que ce n'était pas terminé. Que le temps n'était suspendu que pour quelques secondes. Ma main se serra sur son torse. Il murmura mon nom. Un nom si lointain et pourtant si proche. J'avais changé. J'avais grandi. J'étais devenue quelqu'un d'autre. Quelqu'un de plus fort, de plus courageux. Je fermais les yeux et inspirais profondément. Quand je rouvrirais les yeux, la lutte pour ma propre vie débuterait. Kenan prononça à nouveau mon nom. Ma poitrine se gonfla d'une sensation étrange. Je les protégerais. Tous. Aucun ne mourrait. Tous m'entoureraient encore demain. Je rouvris brusquement les yeux. J'étais prête. - - Un énorme merci à Sinadana pour la couverture ! N'hésitez pas à aller faire un tour sur son profil, elle fait un travail magnifique !

Qui suis-je ? Depuis bien longtemps cette question me tourmentait. La réponse qui me venait le plus souvent était que j'étais la fille d'Eleonore et de David, j'étais aussi la petite-fille de Nana et j'étais l'amie de Tamara, d'Andrew et de tous les autres. Mais tout cela n'avait pas de sens car j'étais, avant tout, la création de Dana. Née pour accomplir ce que la déesse mère souhaitait. Avais-je une autre vocation ? Où étais-je condamné à simplement exister pour répondre à son désir ? Je ne savais plus. Doucement, je me tournai pour contempler mes amis qui étaient tous installés dans l'immense village elfique. Tamara et Andrew, collés l'un à l'autre. Devon appuyé contre un tronc d'arbre fixait assidûment Jena qui discutait avidement avec Mikaël. Epona était assise dans un coin, la tête de Saphira sur son épaule alors que la louve dormait profondément. Cyriel était avec un groupe d'elfe, visiblement très à l'aise et heureux de se retrouver ici avec les siens. Mes yeux rencontrèrent ceux d'Andréa qui plissa le regard alors que je m'étais installé en surplomb pour les admirer, je me détournai rapidement mal à l'aise depuis quelque temps avec lui. Alors que j'esquissai le mouvement de me ré enfoncer dans la forêt, une main ferme saisit mon avant-bras. Je posai mes yeux dans ceux émeraudes de Kenan, qui ne me surprenait absolument pas. J'avais tellement changée. - Keyli, murmura-t-il. Il faut qu'on parle, j'aim... - Je suis d'accord, approuvai-je en plantant mes yeux dans les siens. J'ai quelque chose à vous annoncer. Et cela ne va pas vous plaire. - - Un énorme merci à Sinadana pour la couverture ! N'hésitez pas à aller faire un tour sur son profil, elle fait un travail magnifique !

Eywa entend et ressent son peuple au travers des arbres sacrées de chacun des peuples. Mais elle entend surtout la douce voix de Kiri qui ne cesse de pleurer la mort de son frère ainé, Neteyam. Seul la divinité choisi de qui doit donner et utiliser son énergie. Peut-être que tout collier n'a pas qu'une dernière perle. La voie d'Eywa est bien plus puissante qu'on ne le croit, mais elle est aussi bien plus sombre. Aonungxneteyam 🍃L'univers ne m'appartient pas, il appartient à James Cameron. Il est possible qu'il y est pas mal de faute, alors si c'est pour critiquer, ne lisez pas ! OU aidez moi à me corriger ;) ⚠️Histoire contenant des passages pouvant heurter le sensibilité de certaines personnes. Je ne suis pas responsable de ce que vous lisez !

- Maman, murmurai-je. - Bonjour ma chérie, sourit-elle en m'ouvrant ses bras. Je m'y ruais aussitôt, enfouissant mon visage dans sa nuque alors que sa douce odeur me rappelait à qu'elle point le foyer qu'elle m'avait toujours offert me manquait. Je me serrais contre elle avec toute l'affection que je pouvais lui porter et elle me le rendit en me serrant plus fort encore, ses bras se logeant autour de mes épaules. Sa main caressa mes cheveux alors que je n'avais plus cette appréhension du contact, au contraire désormais j'avais l'impression de ne pouvoir qu'en chercher encore et encore. J'avais du temps à rattraper. - Je suis si fière de toi, Keylinda, souffla-t-elle sa voix tressautant en faisant aussitôt monter les larmes à mes yeux. - J'aurai voulu pouvoir sauver tout le monde, murmurai-je fébrile. - Tu as déjà fait beaucoup, affirma-t-elle avec tendresse en redressant mon visage pour sécher les larmes qui roulaient sur mes joues. Ne te sens pas responsable. - Je ne peux que l'être, rétorquai-je en chassant doucement ses mains. Mais je continue à avancer. - Tu es devenue une femme, sourit-elle aussitôt. Tellement belle et forte. - Tu me manque, tentai-je de sourire à mon tour malgré la tristesse qui me lacérait la poitrine. - Toi aussi, glissa-t-elle avec tristesse. Mais cessons de nous morfondre. C'est un grand jour aujourd'hui et Dana m'a permis de venir te voir afin de te donner ce qu'il manque à ta tenue. Me faisant froncer les sourcils, ma mère éclata de rire avec une insouciance si douce que je ne pouvais que m'y plonger avec délice. Elle plaça alors sous mes yeux une petite boîte en velours noir qu'elle ouvrit sans me faire attendre, bien trop impatiente de voir ma réaction. J'écarquillai les yeux alors que dans le petit écrin, s'offrait à moi un bijou en or que j'avais déjà vu de nombreuse fois et que je pensas pourtant perdu. Mon médaillon. Un bijou ancien. Son sourire s'élargit.

Dans une vie, il y avait certaines choses à régler : les mystères de son passé, des transformations incontrôlées, des souvenirs douloureux, un amour impossible... Pour Svenn et Silke, les choses étaient à peine différentes. Car ils avaient des choses à mettre au point. Un problème à régler. Un ennemi à tuer. Lucifer.

Dans une fuite éperdue pour leur survie, Blanche et Silke se retrouvent en Exil, un village où tous les pires êtres de l’Invisible ont élu domicile. Là, un loup-garou incapable de se transformer, ici le Bourreau en personne, de l’autre côté une nymphe gothique, et, au grand damne de Blanche… Un démon duplicateur du nom de Nergal, assez sexy pour l’enflammer aux pires moments. Alors, quand elle doit servir un mensonge plus vrai que nature, elle a besoin de toute sa concentration… Merci à @Momonaa pour la couverture.

Lutsey, une jeune guerrière omatikaya, voyait sa vie liée à sa famille adoptive et à son clan. Mais une jeune femme du Peuple, lui ressemblant en tout point, viendra chambouler son destin.

La guerre entre Lucifer et Exil étant bien entamée, Fergus Ferguson a de quoi faire : Svenn s'est volatilisé, Rika est morte, Silke a mit les voiles, sa sœur est avec un crétin d'ange, l'autre avec un démon.... Pourtant, ce ne sont pas là les plus gros soucis du dragon. Car il découvre une chose tout à fait improbable dans le coffre-fort du Déchu... Une chose qui va le faire en tourner en bourrique comme personne.