Stagiaire discrète le jour, Marguerite change d'identité à la nuit tombée en devenant Fleur, plume secrète qui narre des récits érotiques sur internet. Sa double vie est bouleversée par l'arrivée d'un nouveau voisin aussi agaçant que bruyant : entre eux, la guerre est vite déclarée ! Mais quand le facteur se trompe de courrier, Marguerite réalise l'improbable : et si son pénible voisin et son éditeur sur internet ne faisaient qu'un ?

Vie rythmée selon l'air des années 80', répliques cinglantes lancées au détour d'un couloir et super-héros dans la peau, Marguerite et William en sont à leur deuxième mois de collocation forcée et si tout semblait bien au début, il n'est jamais simple d'avoir quelqu'un dans sa vie. Ayant eu son diplôme de fin d'études, Marguerite se retrouve temporairement sans emploi tandis que William prépare la sortie de son dernier opus « Vanille & Chocolat » promettant de faire fondre bien des lectrices. Mais voilà, Marguerite trouve une place dans la maison d'édition dans laquelle travaille William et celui-ci semble se rapprocher progressivement de Rose juste sous son nez. Rose, qui d'ailleurs, continue d'endosser le rôle de « Fleur ». Et que se passerait-il si Marguerite reprenait ce qui lui revenait de droit ? Que se passerait-il si on rendait à César ce qui appartenait à César ?

À 23 ans, Emy s'est autoproclamée reine des quiches bretonnes. Quand elle manque de se faire assassiner par un vieux schnock complètement timbré et embrasse malencontreusement son ancien amour d'enfance, son quotidien est bouleversé. Ne supportant plus les trahisons de son boulet de petit ami, ni les menaces constantes de sa patronne tyrannique, Emy prend conscience qu'il est grand temps d'écrire un nouveau chapitre de sa vie. Elle s'inscrit alors à un concours pour réaliser son rêve : terminer un roman ! Mais reprendre sa vie en main est plus facile à dire qu'à faire... 👉 MES AMOURS ÉPONYMES est une tétralogie publiée chez EDEN Éditions. Le premier tome est disponible en librairie et sur les sites de vente en ligne !