Si la guerre Russie Ukraine entrainer a la 3eme guerre mondiale, Si une adolescente ne vivais pas une enfance normal, si plus personne n'avait une enfance normal.

Mon nom est inconnu de tous et pourtant, quand ils me voient, ils tremblent. Ils m'appelle L'ange de la muerte car je dirige la plus grande mafia Italienne; La Cosa Nostra. Je possède ainsi tous ce que l'Homme rêve: richesse, pouvoir, domination. Le seul petit truc qui me faisait défaut c'est les relations humaines disons que je ne suis pas la plus sociable mais qui en a besoin quand on peut diriger et obtenir tous ce qu'on veut en instaurant la peur. J'avais quand même une sœur pour l'aspect humain avec qui je pensai être proche jusqu'à ce qu'elle retourne sa veste et me plante un couteau dans le dos mais finalement, son erreur fera ma réussite. C'est ce qu'on dit nan?!

Ivy ne croyait pas revenir dans cette ville qui l'a autrefois fait rêver et souffrir à la fois. Mais ce qu'elle croyait encore moins, c'est de passé trois semaines de vacances avec ses harceleurs de collège. Mais elle est prête à croire que ce sera différent cet été. Quelle ne souffrira plus en leur présence et que ces vacances ne se termineront pas comme les vacances précédentes. Elle veut y croire car son petit ami Mason le lui a assuré. Mais peut-on vraiment faire confiance à quelqu'un qui nous a déjà trompé ? Mason est soi disant fou amoureux de Ivy et tient à garder leur couple intacte jusqu'à la fin de leurs jours, toutefois sera-t-il résister à l'attirance qu'il éprouve pour une de leurs colocataires ? L'arrivée de l'ex-petit copain à Ivy et celui qui a manipulé Mason pendant des années seraient-ils le déclencheur de la fin de leur couple ? Ou serait-ce le retour des deux frères avec qui elle a passé Août dernier et dont elle ne peut s'empêcher de penser à l'un d'eux ? Les souvenirs se ravivent à mesure qu'elle plonge dans cette Mer agitée que sont des vacances avec des gens en qui elle était censé avoir confiance. Des gens qu'elle aimait plus que tout, et qui l'ont brisé par la suite. Ce qui fait le plus mal, ce n'est pas le couteau qu'on vous plante dans le dos, mais c'est de voir qui le plante, lorsque vous vous retournez.