Je m'étais promis de rester en dehors de tout ça, de ne pas faire de vagues. En même temps, avec Yeong Bin comme grand frère - dictateur officiel du lycée -, j'ai appris à faire profil bas. Très bas. Mode tapis. Puis il y a eu Suho. Ex-boxeur, respecté, imprévisible. Il parle et mange beaucoup, frappe fort, et me regarde comme si j'étais plus qu'un détail de fond. Ajoutez à ça Sieun - génie incompris, mutique, qui voit les failles sans jamais lever la voix - et soudain, je fais partie d'une équation que je ne maîtrise pas. Et comme si ma vie était pas assez compliquée, j'ai rencontré Wooyoung. Un gars instable. Beau, bien sûr, mais surtout instable. Ami de mon frère, ennemi de Suho. Le genre de gars qu'on devrait éviter si on a un minimum d'instinct de survie. Sauf que voilà : j'en ai pas. Ou alors il est en grève. Parce qu'au lieu de fuir, je me rapproche. Et le pire ? Ça me plaît. Je crois que j'ai mis les deux pieds dans une histoire qui frappe bien plus fort que prévu. Classement Wattpad : 16/03/25 #4 sur 912 🏆 Suho 16/03/25 #10 sur 1000 🏆 Wooyoung 22/03/25 #1 sur 40 🏆 Weak Hero Class 05/04/25 #1 sur 915 🏆 Suho 23/04/25 #1 sur 800 🏆 Kdrama

Elle est brisée. Il est vide. Mais quand leurs regards se croisent, quelque chose vibre. Et ça fait peur. Lya a grandi dans un foyer où l'amour n'existe pas. Abandonnée par un père, brisée par une mère, elle ne connaît que la douleur. Jusqu'au jour où sa propre mère la vend à un gang. Les Severed. Un monde de silence, de violence, de survie. Ici, on n'aime pas. On obéit. On encaisse. On se tait. C'est Ren qu'on charge de l'entraîner. Silencieux. Dur. Dévasté. Il a grandi sans famille, arraché trop jeune à l'orphelinat. Pour lui, les Severed ne sont pas un refuge - c'est une cage qui a avalé son humanité. Mais face à Lya, quelque chose craque. Elle lui ressemble trop. Elle lui rappelle ce qu'il a enterré sous la haine. Et elle, contre toute attente, trouve en lui une présence qu'elle n'ose plus espérer. Un regard. Une nuit. Un cauchemar partagé. Et si la vraie faiblesse, ce n'était pas de souffrir... mais de s'attacher ?