Karim, un homme brisé par une douleur indicible, porte en lui le poids d'une promesse qu'il ne compte pas trahir : celle de ne plus jamais aimer. Depuis la disparition tragique de la femme qui lui a donné son fils, son cœur, autrefois empli de chaleur et de dévotion, s'est refermé comme une forteresse imprenable, barricadée par la douleur et les regrets. Chaque souvenir de leur bonheur passé est une lame qui ravive une blessure qu'il croit incurable. Pour lui, l'amour n'est plus qu'une illusion cruelle, une porte qu'il refuse d'entrouvrir de nouveau. De son côté, Kaliyah lutte pour se relever des cendres d'un mariage qui l'a laissée marquée et désenchantée. Après un divorce tumultueux, empli de trahisons, de disputes et de désillusions, elle a appris à se protéger, à ne plus laisser quiconque atteindre son cœur. Pourtant, malgré l'amertume et les cicatrices qu'elle porte, une petite flamme vacille encore au fond d'elle, fragile mais persistante. Un espoir secret, presque honteux, que peut-être l'amour, sous une autre forme, pourrait encore exister. Ces deux âmes égarées, chacune enfermée dans sa propre douleur, n'attendent plus rien de la vie que la survie. Le hasard, ou peut-être le destin, finit pourtant par entrelacer leurs chemins. Une rencontre inattendue, d'abord banale, qui fait naître un frisson qu'ils n'avaient plus ressenti depuis longtemps. Pourtant, leurs cœurs abîmés hésitent, se dérobent. L'amour, ce mot devenu si étranger, peut-il vraiment trouver sa place dans des cœurs si abîmés ? Ou ne seront-ils qu'un énième rappel de la douleur qu'ils fuient désespérément ?

Si Ayna avait sû certaines choses, elle ne se serait jamais autant attachée à ces personnes...

Deux âmes que tout opposait se rencontrèrent pour la première fois. Leur histoire ne se résumait pas à celle de simples inconnus, mais à celle de deux êtres radicalement différents. Elle était une jeune femme au sourire constant, toujours prête à écouter et à aider, le cœur ouvert aux autres. Lui, en revanche, était habité par une noirceur implacable. Sans rien à perdre dans ce monde, il se permettait toutes les transgressions, indifférent aux conséquences. Pourtant, lorsque leurs regards se croisèrent, ils ignoraient que leur avenir était déjà scellé. Ils ne savaient pas que cette rencontre était écrite, ni qu'ils allaient devoir affronter ensemble des épreuves inimaginables.

« On s'enlace tendrement. Nous venions de nous promettre la vie, de signer pour un amour éternel. Aujourd'hui on écrit notre histoire... »

le but, c'est de survivre.

["- ARRETER VOUS Je pouvais plus aller bien loin, à cette heure-ci je ne pouvais appelé personne. Je continue à courir,en me répétant cette phrase que Yassine m'avais dit "Ici c'est solo jusqu'au bout" Je décide d'arrêter de courir. -Main en l'air Je lève mes main. Il me passe les menottes. Je sortirais seul de cette enfer comme j'y suis rentrée.." ] ©Copyright - Tous droits réservés ! Aucun Plagiat ne sera tolérée par l'auteur de cette chronique. Publié en : 2019 Terminer en: juin2021 @-SomptueuseS-

Salma, d'origine marocaine n'arrive pas à trouver le sens de sa vie, elle trouve une personne pour la écouter ses problèmes... mais n'arrive pas à donner de l'amour. Son caractère fort, très fort que elle en perd des amis, à l'école c'est le meilleur exemple « d'élève qui n'aura pas d'avenir » Sa vie se résume à la tristesse, la drogue, la dépression, elle dit que seule une personne qui lui ressemble peut la comprendre. Bonne lecture ! Fictive avec des fait réels (vous pouvez lire cette chronique sans lire la précédente (Ibtissam: devenir quelqu'un pour exister)

Je le détestais, il me détestais mais toute cette rancoeur c'est transformé en amour Gönlüm karalıktı, sen geldin لان قلبي مظلما وأتيت انت...

« 𝐈𝐥 𝐲 𝐚𝐮𝐫𝐚 𝐭𝐨𝐮𝐣𝐨𝐮𝐫𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐥𝐮𝐦𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐞́𝐜𝐫𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐟𝐮𝐭𝐮𝐫, 𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬 𝐝𝐞 𝐠𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐞𝐟𝐟𝐚𝐜𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐩𝐚𝐬𝐬𝐞́.. » Chronique réelle avec des passages fictifs. Début de l'histoire septembre 2017.

VOUS ÊTES RESPONSABLE DE CE QUE VOUS LISEZ !! Alors, oui oui je suis revenue avec encore une chronique sur couple Renoi rebeu ! Alors, Talia, Zaïroise Angolaise mais le côté Congolais et plus ressortie Mddrrr. J'avais 17 ans au début de la chronique. Je suis tombé love d'un rebeu qui s'appelle Smail, il ferra des conneries, j'en ferrai aussi, mais la question est on pourra encore parler d'un nous ; ? Je vous signal encore que cela s'agit d'une simple reprise donc ne laisser pas des questions car ce n'est pas mon travaille. Je l'ai reprise car c'est une histoire que j'aime vraiment. A vous de lire et de comprendre la chronique ! Cette chronique n'est pas la mienne mais elle mérite d'être lu.