Passion (Mendoguerra)
Voilà un an qu'ils ne s'étaient pas revus. Un an que Mendoza n'avait pu contempler ses yeux d'un marron profond, ses magifiques cheveux châtains, sa peau d'ivoire et son doux visage. Un an, c'était, pour ainsi dire, une éternitée. Et pourtant, il ne saurait dire si Laguerra lui manquait. Peut-être que Mendoza avait pe...