eoliamabila's Reading List
6 stories
les enfants de minuit by samourracher
samourracher
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    Parts 12
c'était la décennie de la révolution sexuelle, des petites culottes et de bob dylan. 1968 semblait l'année propice aux fugues des adolescents vers la Grande Ville. le chelsea hotel était encore envahi de poètes et de stars du rock n'roll qui payaient en peintures loufoques et en promesses. kerouac était devenu malgré lui le porte-parole d'une génération qui n'était plus la sienne, tandis que jim morrison grattait sa guitare et déchaînait encore les foules. et allen dans tout ça, c'était le petit postier maigrichon qui griffonnait sur les serviettes en papier des cafés, à la lueur du petit jour, ou bien sur le courrier perdu qui s'amassait dans la réserve.
L'artiste du lampadaire  by arrachelecoeur
arrachelecoeur
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    Parts 5
L'art de peindre l'océan interne qui se fracasse contre les côtes, au point d'en avoir mal. © arrachelecoeur - décembre 2019
le manoir des âmes en peine by freyautem
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    Parts 4
- un manoir un peu délabré près de la méditerranée rempli de dix adolescents prépubères aux dons pas très naturels. Un joyeux mélange de magie et d'hormones ❝ - j'y crois pas... - il a encore fait exploser l'aile droite ! - on est vraiment dans la merde jusqu'au cou ❞
les cheveux de Béa by arroselaplante
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Béa est une dure-à-cuire. On raconte que son blouson en cuir résiste aux balles, que ses cheveux peroxydés ne craignent ni le vent ni la pluie et que sa baguette à mis le feu à plus d'un sourcil. Si on la laissait faire, elle aurait probablement déjà brûlé toutes les banques de Londres et la voiture de son père. Mais quand on a seize ans, des rancunes, des rêves et des idées plein la tête, des sourires à se pâmer sur les lèvres et des amis un peu stupides, les coups durs sont parfois plus costauds que nos carapaces et la soif de vivre est difficile à étancher. POUDLARD, 1976. (à venir)
les beaux garçons by arroselaplante
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    Parts 4
AUGUSTIN se croit sans qualité, alors qu'il sait marcher sur les mains et sur la pointe des pieds. JEAN-SÉBASTIEN collectionne les mauvais surnoms comme les vieux vinyles et attire les catastrophes comme un aimant. MARCEAU porte un chapeau de mafieu qui lui tombe sur les yeux et placarde des tracts vengeurs les murs de la ville. Trois adolescents se trouvent dans les espoirs incertains, se perdent dans la beauté d'un regard, trébuchent sur les caresses et respirent à plein poumons l'odeur de la jeunesse.