L'handicap à l'amour. (T3 de Jenevah)

Short story sur le premier amour d'une jeune fille du nom de Kehlani.

Cover by: @Enny101 Christian DeLuca is a very successful businessman with little regard for anyone he doesn't consider family, he's found work and life easier this way. What happens when he finds himself consumed by one thing, or rather one person, Alesha Moore. His plans are to get her, keep her and never let her find out about his title as a kingpin in the Italian mafia. *** "Alesha, where do you think you're going?" he asked in a deep and unsettling tone. "I just saw you commit mass murder Christian. I can't be a part of this world, your world. I'm not built for this life, if this is who you are then.." I let out a humorless chuckle. "I couldn't stomach today let alone the rest of my life. I need to leave, and you need to let me." My voice was so low, even breaking toward the end. Each word provoked tears to spill from my eyes and even more came rushing when I could see how what I said must've felt like daggers to his chest. "You can either stay and talk to me or calm down outside and we'll talk when you're ready, but you are NOT leaving me." His once sexy, endearing voice turned cold and sent frightening shivers throughout my body and I don't know who was staring back at me, but I could no longer see my Christian, not the man I love. *** This book contains mature language AND images, if you find that unsettling, I promise this is not the book for you 😬

Venez découvrir l'histoire d'amour entre le beau et charismatique Alek, et la douce et charmante Tia. Bonne lecture!😉

- Tu es un péché que je regardais de loin mais que je voulais tout de même garder près de moi. Dit-il en s'approchant. Et pourtant je sais qu'un homme peut, pour une femme, faire des choses contraires à ses valeurs. Je sais qu'un homme amoureux peut dire à une femme des choses qu'il ne peut ni avouer ni à son chef ni même aux personnes qui lui sont les plus proches. - Je ne vois pas où tu veux en venir Keon. Répondis-je. - Ce que je veux dire, Sinaï, c'est que tu me fais tourner la tête. Quand tu es à mes côtés, je ne souviens que de mon prénom. Je deviens un homme comme les autres. Est-ce normal que malgré toutes les limites que j'ai mises entre nous je ne parviens pas à les respecter ? Est-ce normal que lorsque je me réveille la première chose que je fais c'est de me tourner vers toi pour savoir si tu es près de moi ? Est-ce normal que tu sois constamment dans mes pensées ? Nos lèvres sont finalement plus qu'à quelques centimètres l'une de l'autre, il finit son monologue en me murmurant : - Sinaï...putain...Est-ce que tu sais combien de fois je me suis vu en train de te baiser dans cette chambre, dans la salle de bain, sur la table de billard, dans le jardin, sur le canapé ? Donc ce que je veux réellement dire Sinaï... c'est que tu me rends dingue. Tu me fais perdre les pédales. Par moment j'ai envie de tout plaquer, de m'enfuir avec toi et qu'on construise quelque chose ensemble loin de nos familles. Sinaï je ne te veux rien que pour moi, tu es- ✶✶✶✶✶✶ C'est par ses douces et honnêtes paroles que je compris que mon désir d'avoir une histoire d'amour lambda allait se transformer en une utopie. D'un soir à un autre, il est passé de kidnappeur à fiancé. Cette histoire n'a rien d'ordinaire et ne le sera jamais finalement étant donné que je suis moi-même... une mafieuse.