Le principe est le suivant : je réponds à des questions de gens au sujet de la linguistique, discipline que j'ai étudiée jusqu'en M1 en France. Contrairement à mes "bonbons philosophiques", des essais personnels, ces bonbons là relèvent de la vulgarisation. Un homme arrive et dit : c'est moi ! Et en fait, c'était pas lui.

Dix nouvelles, une par pronom personnel : Je, tu, il, elle, on, iel, nous, vous, ils, elles. Le nous de majesté, je est un autre, il est une non personne... Jouant avec les personnes dans la narration, j'ai l'intention de vous offrir des jeux littéraires, ainsi que des histoires absurdes, parfois drôles, parfois critiques de notre société et des rapports humains.

Réécriture de la Flûte Enchantée de Mozart, accompagnée de la musique. Beaucoup de virtuel, de rumeurs et de mystères. De l'amour, évidemment, et le pouvoir de la musique. Dans la première scène, je joue de la flûte au cimetière où est enterré Mozart. La fameuse flûte en or sculptée dans un chêne millénaire. (sic). Laissez vous emporter et, si vous ne connaissez pas, découvrez mon texte accompagné de l'œuvre.

Essai sur l'écriture. L'écriture fait couler beaucoup d'encre. Alors, pourquoi jeter l'ancre dans ce pays déjà surpeuplé ? J'attaque ce livre alors que j'ai déjà un peu écrit. 1) Qui suis je Liv Pirosh, pour écrire ? 2) Quels secrets de fabrications, pour mes autres œuvres ? 3) Réflexions sur l'écriture 4) Visées : pourquoi ? 5) Genres : les goûts et les lecteurs 6) C'est Platon et Wattpad. Cet essai, écrit en 2024, reflète mon état d'esprit d'alors. Je l'"actualiserai" quand j'en aurai le temps, ma vie, mon savoir, mes écrits, et la place de l'écriture étant vouées à évoluer, et étant objectivement différentes désormais. En livre, il durerait 192p environ.

La narratrice Zuleïka, de Z à A, sait depuis son enfance qu'elle sera lexicographe. C'est sa vocation. Ah oui, pardon : Lexicographe, nom : Personne qui fait un dictionnaire de langue. Une fois adulte, son rêve se réalise et le Dictionnaire Amoureux s'ouvre. Les entreprises de mots voisines envoient pour représentants de séduisants mots dont les plus prolifiques et méritants ont le droit de gagner le livre. Parmi eux, quelques nouveaux venus, de jeunes et beaux mots. Commence un ménage polyamoureux pour cette amoureuse des mots, vu d'un mauvais œil par le couple patronal, Monsieur Budget aux redoutables ciseaux, et sa femme Madame Achète, qui préfère utiliser ce budget pour une nouvelle gamme de pub. Le jour fatal arrive : le couple décide qu'il n'y aura de place que pour un, et que Zuleika devra trancher. L'aide de son amie, Asmaâ l'orthophoniste, sera précieuse à Zuleika. Choisir est malaisé, et plus malaisé encore quand on aime.

Récits/Ré Si à clef, même si la clef de ré n'existe pas à ma connaissance... créons la. Nouvelles qui d'un coup de tête digne de celui d'un sportif veulent qu'on les remarque. Nées de suggestions, d'idées qui me vinrent, elles quémandent de l'attention. Hongrie. Dix neuvième siècle. Un industriel dans la chaussure méprise ces va nu pieds de Tsiganes mais se réjouit devant leur cirque. Ce magasin de chaussures pour chevilles enflées, cette coutume qui consiste à émettre un souhait dès que l'on consomme un nouvel aliment, ou encore cette course poursuite en télécabine ne demandent qu'à être écrits. J'aimerais au passage remercier Éphémère, écrivaine qui suggéra bénévolement des thèmes, à qui je dois certaines nouvelles. 13 500 mots et 55 pages en format livre.

[FERME] Par où commencer ? Soumettez moi vos histoires et j'en analyse le début ! Ceci est un projet qui se veut un florilège, en quête de perles Wattpad. Un peu à l'image du prix de la Page 111, je n'analyserai que le début, appelé "incipit" par les profs. L'idée ? J'analyse vos débuts d'histoire, avec votre accord. Ce sont des "critiques" (subjectives) MAIS je me concentrerai davantage sur ce que l'histoire m'évoque et m'inspire que sur une évaluation. J'ai beau avoir un style (trop) scolaire, je ne mets pas de notes ! :P Le monde de la critique littéraire est traditionnellement élitiste (il se concentre sur peu d'œuvres) et très cinglant. Je ne serai pas ainsi, pour des raisons éthiques, si vous cherchez du clash, vous continuerez à chercher. Soyons constructifs !

J'aime la musique, et j'écoute, entre autres, les classiques. A ma connaissance, Wattpad possède un autre livre de ce type, axé sur des oeuvres connues. Classique au sens large, Renaissance, baroque, classique, romantique, moderne et contemporaine. Je présente des morceaux en un journal d'écriture : quelques éléments "documentaires", ainsi que mes impressions, ce que les morceaux m'évoquent, font vivre en moi... Parfois opposée à la musique "folklorique" et à la musique "commerciale", la musique "savante" est socialement marquée, et c'est ce marquage, davantage que les prix ou un mauvais goût des gens, qui la rend si peu accessible : parce que c'est connoté "musique de bourge", la majorité ne s'y intéressera pas. Mon but est aujourd'hui de partager ma passion, assez éclectique car le classique au sens large recouvre plusieurs styles, siècles et pays. Que vous en jouiez, en écoutiez ou ayez cliqué par hasard, soyez les bienvenu.e.s ici.

Roman rituel et spirituel, se déroulant pendant Hanoukah, la fête juive hivernale des lumières qui dure huit jours, puis pendant Noël. Il a pour enjeu la lumière et la réconciliation. Uriel, Juif ashkénaze de vingt ans, en prépa littéraire, est hanté par son arrière-grand-mère sous la forme d'un esprit malicieux, le dibbouk. Angoissante, énervante, parfois bienveillante, elle pourrait l'aider à réconcilier la cousine Abigaël, qui a gagné un concours de nourriture (elle a englouti un jambon et déteste les bondieuseries) et sa mère, qui ne pense qu'à ses enfants, et les couvre d'amour et de névroses. Elle pourrait aussi l'aider à se réconcilier avec son meilleur ami, catholique, fâché pour iel ne sait quelle raison, en cette veille de Noel. Et peut être même, sait on jamais, à améliorer ses notes en géographie, ce qui tiendrait du miracle, et à faire face à l'odieuse sévérité de Mme Jouy, proviseure catholique intégriste, et à son fils Urbain qui n'a vraiment, vraiment, vraiment aucun problème avec les Musulmans et puis les Juifs (tant que...). L'hiver gèle les doigts et les cœurs, et la fête qui célèbre la lueur dans les ténèbres semble faire pâle figure, éclipsée par Noël en ce pays catholique, et dévoyée par ceux qui, osant parler "au nom des Juifs", exaltent un génocide à Gaza. Quel sens peut prendre Hanoukah dans un tel monde ? Quelle est cette lumière qui, devant briller une heure, luit huit jours ? Et comment se débarrasser de cet insupportable dibbouk et supporter sa mère ? TROISIEME PLACE au concours de Noël de Romantic Moon, une médaille de bronze !