A Guadalajara, une ville paisible le jour mais rude la nuit, vit Valeria Guasto, fille d'un chef de cartel. Prisonnière d'un monde qu'elle n'a jamais choisi, elle dissimule sa peur derrière l'arrogance. Promise à Eduardo Iñigo Salvatore, héritier impitoyable d'un clan rival, elle devient la monnaie d'un accord scellé dans le sang et la trahison. L'homme qu'on surnomme El Ángel Caído ne connaît ni pitié ni faiblesse. Son cœur est d'après les dires brisé, par le passé, et forgé pour combattre le futur. Même elle. Mais derrière les murs de sa villa à Tequila, le silence se fissure. La colère de Valeria réveille chez Eduardo quelque chose qu'il croyait mort, le désir... et la peur de perdre le contrôle ou de la perdre elle. Entre eux, tout n'est que heurts, déchirements et attirance brûlante. Dans un univers où la loyauté se paie en vies, leurs cœurs deviennent des armes. L'amour, dans leur monde, est un crime et pourtant, il les consume peu à peu. Car certains destins, nés dans la violence, sont voués à s'enchaîner... même dans la douleur, même dans la mort. Au début, il aurait regardé ton dernier souffle. Maintenant, il donnerait le sien pour toi.

Ibtissam, seule et ne cherche pas forcément l'amour, elle a rencontrée les problèmes, les peines de cœurs et tout ce qui va avec. Salam, salut. Je me présente, je m'appelle ibtissam j'ai 16 ans et je vis sans mes deux repères, mes parents. Je vis donc avec mon grand frère dans une cité, c'est lui qui m'a tout appris, qui m'a éduquer, qui m'a aidée dans les bons et mauvais moments, je lui dois beaucoup. Je n'ai jamais voulu avoir beaucoup d'amour, que celle de mes parents et de mon grand frère. Il a fallu que je rencontre ce gars, cette personne, et c'est à ce moment là où le début de ma vie commence réellement.. J'espère que cette chronique va plaire. [TERMINÉE] Bisous 💋 Fictive avec des faits réels

Nul ne peut lutter contre le destin. En dépit des épreuves qui s'accumulent et de la fatigue qui s'installe, garde espoir et attends la délivrance de ton Seigneur. Parti de rien, j'ai su mener ma vie à bien. Une histoire de love qui commence dans une cité.. Une rencontre entre une Marocaine et un Marocain Qatari, quel en est le résultat ? R&W... *Chronique fictive inspirée de faits réels.*

une vieille âme dans un corps jeune, Une fille née en 2008, mais avec le cœur et les rêves de 1999. une guerrière douce, Quelqu'un qui a mal, mais qui transforme sa douleur en paroles puissantes, Quelqu'un qui pleure, mais dont les larmes sont pleines de vérité. C'est moi..🥀

Chronique enregistrée Réelle thug love comme on les aime à l'ancienne Entre Amour et Amitier, coup d'pute et trahison, argent et dette, bonheure et malheurs, violence et accident. Bienvenu dans la vie D'Aliyah, biienvenu dans L'amour a la Ghetto Youth.

« Si vous aimez quelqu'un, aimez malgré les traditions soi-disant, misez sur l'amour qui est plus fort que les médisants... » CECI EST UNE REPRISE FACEBOOK. Publiée en décembre 2014. ✨

𝓒𝓱𝓻𝓸𝓷𝓲𝓺𝓾𝓮 𝓭'𝓘𝓼𝓵𝓮𝓶 : « 𝓟𝓪𝓻 𝓪𝓶𝓸𝓾𝓻 » « On se fera du mal » Histoire réel avec passage fictif.

‏فات الميعاد وبقينا بعاد .. Ne repousse le destin que l'invocation. Voilà pourquoi je ne renoncerais jamais à toi. Je prierai Allah, Celui qui détient mon cœur et le tien, nuit et jour, pour que je sois ton destin et tu sois miens. ⚠️⚠️PAS D'INSULTES SVP⚠️⚠️

« Il était attirant, mais ce n'était pas le dernier mannequin des magazines. En survêt', avec un regard dur, un mec de quartier tellement banal, mais à mes yeux, il avait ce truc qui le différenciait de tous les autres. Mes critères me riaient littéralement au nez parce qu'il était l'incarnation de tout ce qui est contraire à mes critères. Et pourtant, il avait réussi à briser cette carapace que je m'étais construite après le départ de mon père, une carapace forgée par l'éducation stricte de mes frères, la peur de l'abandon, et surtout l'environnement dans lequel j'avais grandi. Moi, Leïla, celle qui se croyait intouchable par les hommes, j'avais un homme dans la tête alors qu'à cet instant j'avais quelqu'un d'autre face à moi. Est-ce que je commençais à perdre la raison ? L'adolescente que j'étais n'avait certainement pas le pouvoir de se l'avouer à cette époque. Non, l'adolescente que j'étais était plutôt ouverte à découvrir un autre monde que celui qu'elle avait toujours connu. Cette adolescente était ouverte à casser les codes des règles imposées parce qu'elle était une fille et donc, de ce fait, elle devait aller à l'école et rentrer chez elle aider sa mère parce que la rue était dangereuse pour elle, parce que ses frères lui avaient toujours répété que celles qui traînaient dehors étaient des "kehba"... »