"est-ce qu'il sait te toucher comme je te touche?" LES MESSAGERIES VOCALES FRANÇAISES SONT LES PLUS SALES ™ [août 2019] nouvelle basée sur TALONS de USKY
j'ai prié à genoux sur la pierre froide jusqu'à en saigner, pourtant tu ne m'as pas écouté. [short story ; 02.24]
les étés étaient chauds à cuba, et les vagues s'écrasaient sur les rochers en même temps que tes lèvres sur les miennes. [short story ; 02.23]
AGONIE. "alors, le souffle saccadé par les pleures, adonis cessa de respirer" il y a le pleure des âmes, et il y a celles au trou béant, que l'on tente inutilement de reparer à bout de scotch mal ficelé, qui se perdent dans une contemplation mortuaire des derniers jours enflammés •°☆ nouvelle
j'ai oublié de te dire : il y a ta pantoufle dans le frigo (je n'aime pas quand tes orteils sont chauds)
liam était amoureux. à en crever. sa poitrine bouffée par les sentiments, il était au bord de l'effondrement.
il était tout à ses yeux. mais contrairement à elle, pour lui, tout n'était qu'un simple jeu. « the love, it's every these bullshits » © mourire | juillet 2016
un soleil couchant, une plage, le cri des mouettes, le vent qui souffle, un amour en peine. ou bien, un souvenir. © mourire | automne 2016
judi c'est le fouillis, la colère, les larmes qui coulent des yeux en même temps que le rire qui résonne. judi c'est tout et rien à la fois, un mélange de malheur et de violence, c'est une masse de cheveux blonds en bordel, un jean raccommodé et un pull trois fois trop grand, une odeur d'alcool et de tabac, des coupur...
et puis, parce qu'on s'aimait bordel. et parce qu'elle s'appelait avril aussi, et qu'elle voyait pas l'monde, et qu'le monde la voyait pas non plus après tout. © mourire | août à septembre 2017
il dit aimer la vie, mais ses yeux disent le contraire © mourire | octobre 2017
chloée est belle. chloée est aimée. chloée est heureuse. chloée est gentille. chloée est réputée. chloée est sociable. et puis il y a anna, et anna est plutôt fade © mourire | mai 2016
judi c'était tout, mais tout ça devient trop vite rien. © mourire | octobre 2017
une rage sans nom occupait le maigre corps de nola, et la tristesse bloquée dans sa cage thoracique, comprimait ses poumons, l'empêchant de respirer normalement; elle suffoquait © mourire | décembre 2017
« mais iphigénie, eux ils brillent, et toi tu t'éteins comme une étoile qui ne parvient plus à s'allumer » © mourire | janvier 2018
tympans percés et bouches cousues, on aspire tous aux étés jaunes © mourire | novembre 2018
pourquoi l'amour ? et mon amour si léger prend le poids d'un supplice © mourire | juillet 2020
