Décembre 1890. Londres, West End. C'était une petite fille brillante, à la sensibilité artistique élevée et à la mémoire sans pareil. Elle aurait peut-être pu devenir savant ou peintre, grâce au perfectionnisme qui lui a toujours été propre. Mais une terrible nuit de novembre 1869, quelque chose en elle s'est brisée. Et une autre terrible avait été libérée. Elle avait fui cet orphelinat. Et onze ans plus tard, était devenue une professeure d'histoire de l'art réputée à la Royal Academy of Arts. Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'elle s'était fait un ennemi de taille. L'agent du Scotland Yard John Rolz, bien décidé à l'arrêter. Par tous les moyens, et même les plus fourbes. Elle aurait pu être savant ou peintre, et alors le monde entier aurait connu son nom pour le meilleur : Zéphyr Astutia... Désormais La Peintre Tueuse. (En cours de réécriture.)

"Tu ne survivras pas là-bas; tu veux sauver des vies ? Tu vas perdre la tienne." Angleterre, 1940. Pour la deuxième fois dans l'histoire de l'humanité, une guerre armée se déclenche. Des milliers de soldats sont alors expatriés au front pour servir et défendre leur pays. Parmi eux se trouve une seule femme se passant pour un homme. Son nom est Jean Ryan Landcaster. Et elle est le soldat Ryan. Depuis la disparition de son jumeau, George, chez les Allemands, la jeune femme est prête à tout pour retrouver son semblable. Elle décide donc de s'enrôler dans l'armée et de se rendre en territoire ennemi, laissant derrière elle son identité.

Hors de prix et élitiste, le pensionnat Keppel est réputé pour ses deux facettes : L'élite de la jeunesse anglaise d'un côté ; les rebelles inscrits au programme de redressement de l'autre. Entre excellence et délinquance, il promet à tous la même chance d'obtenir une bourse d'un montant astronomique, attribuée aux dix meilleurs élèves en fin de cursus. Mais alors que sa devise le veut synonyme de discipline, de progrès et d'honnêteté, derrière les apparences, il est le théâtre d'une compétition mortelle. Manipulation, violence, corruption... Pour faire partie des Dix, tous les coups sont permis.