Assurer la succession d'un empire n'est ni plus ni moins qu'une affaire de pouvoir, de sentiments, de jalousie et de haine. Chacun rêve d'inscrire son nom en lettres d'or, quitte à trahir son propre sang pour y parvenir. L'aîné orgueilleux, le favori trop sûr de lui et la sœur ignorée : tous veulent régner, tous sont prêts à tuer. Une guerre intestine où, dans l'ombre, patientent les vautours, affamés.

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Welcome in my head version Bardattal sauf que je suis pas si innocente... Ou des one-shots Bardattal où ils ken Tout se passe plus ou moins dans le même univers mais l'histoire est pas suivie. Chaque one shot est indépendant.

Attal x Séjourné x Macron x Véran x Bardella x Branco (Ils veulent, ils veulent) "À la seconde où Juan entre dans la chambre, il perçoit le changement d'atmosphère, encore si légère l'instant d'avant. Gabriel le regarde, les yeux vides, le sourire effacé, des larmes suspendues à ses cils, prêtes à s'écouler lentement, très lentement, sur ses joues qui, quant à elles, n'ont pas eu le temps de se préparer à un tel déferlement. Gabriel le regarde, dans un silence qui s'installe, comme trouvant enfin la place qu'il aurait toujours dû occuper. Juan sait, devine immédiatement, que rien, désormais, ne sera plus jamais comme avant." Fiction sur Gabriel Attal (Gabriel Mondial pour les intimes.)

Après un débat houleux, Jordan Bardella sort fumer une cigarette. Dans l'obscurité du parking, il assiste à une scène terrible : Gabriel Attal, son rival politique, est violemment agressé. L'inconnu s'acharne sur l'homme à terre avec une haine que même Bardella n'a jamais ressentie envers son opposant. Tiraillé entre son rôle de leader du Rassemblement National et une inexplicable volonté d'aider Gabriel, Jordan plonge dans une enquête qui menace de tout bouleverser. Ce qui n'était qu'une rivalité politique devient une quête personnelle, presque obsessionnelle. Un thriller psychologique où la haine se transforme en un désir obsédant.

Gabriel n'existe plus. Son corps et son esprit ne lui appartiennent plus, reposant entre les mains de son bourreau et transformant la puissante arme politique qu'il représentait en une simple poupée dénuée de libre arbitre. L'amour et la haine sont deux sentiments séparés par un simple voile, maintenant déchiré de toute part, la frontière entre les deux émotions brouillée et engendrant un mélange désagréable. Gabriel a joué, pariant sur ses sentiments plutôt que sa logique, ce qui a fini par lui coûter son roi, accordant la victoire à son opposant. Échecs et mat, dit-on, mais les règles sont faites pour être brisées, et parfois deux joueurs peuvent finalement se retrouver à jouer dans le même camp, quand bien même la partie semblait terminée.

La haine et l'amour sont deux sentiments séparés par un simple voile, si fin qu'il peut être brisé d'un coup de vent. La sphère politique est une arène dans laquelle les plus puissants règnent, réduisant ceux qui apparaissent faibles à néant. Les sentiments n'ont pas de place entre les murs de Matignon, Gabriel Attal le sait plus que quiconque. Et pourtant, habituellement maître de ses émotions, celui-ci se retrouve incapable de contenir sa colère lorsqu'il se retrouve en face de son plus grand rival politique, Jordan Bardella, un homme certes plus jeune que lui, mais débordant d'une assurance atteignant des sommets. La politique est une discipline régulièrement comparée à un immense jeu d'échecs, conférant un pouvoir incommensurable au vainqueur. Alors, mélanger jeux et sentiments est-il réellement prudent ?

L'alchimie entre deux personnes n'est jamais prévisible. Elle ne se base sur rien de concret, rien de logique. Elle existe, c'est tout. Comme un courant électrique, comme deux aimants que l'on ne voit pas. Inexplicable, incontrôlable, troublante. Certains parlent de chimie, d'autres de destin.