Arabella, recluse et casanière, passe ses nuits à regarder des films et à enquêter sur les tueurs en série, fascinée par l'horreur qu'elle préfère observer de loin. Mais depuis plusieurs jours, quelque chose cloche. Son interphone s'active sans raison, la caméra filme sans qu'elle ne l'ait enclenchée, et parfois, elle croit entendre quelqu'un murmurer, comme un souffle contre la ligne pourtant coupée. Une nuit, alors qu'elle éteint son film, un frisson lui glace l'échine. L'écran de l'interphone est encore allumé. Cette fois, ce n'est pas une erreur. Ce qu'elle voit la paralyse : une silhouette obscure, un massacre en direct, une violence qui ne devrait pas exister sous ses yeux. Puis, alors qu'elle retient son souffle, la silhouette s'arrête. Lève lentement la tête. Et fixe la caméra. - Tu m'a vue n'est pas ? ⚠️⚠️⚠️ Cette histoire contient des thèmes sombres et intenses, susceptibles de heurter la sensibilité de certains lecteurs. Contenu sensible : • Violence graphique et scènes de meurtre • Torture physique et psychologique • Relations toxiques, manipulation et obsession • Consentement ambigu • Dark Romance : amour destructeur, domination et possessivité extrême • Langage cru et scènes explicites détaillées • Traumatismes, troubles mentaux et comportement obsessionnel Si ces thèmes vous mettent mal à l'aise, veuillez procéder avec prudence ou envisager de ne pas lire. Cette histoire ne glorifie ni ne justifie aucun des actes mentionnés.

Il me suit, me traque et m'espionne toute la journée, toute la nuit. Il ne supporte pas l'idée que je puisse être loin de lui. Ne tolère pas qu'un homme m'approche. Et ne pense surtout pas au fait que je puisse vivre sans lui. Il me veut. Et il m'aura. Que se passe-t-il quand la proie tombe pour le prédateur ? * (Réécriture en cours, et la protagoniste change de prénom alors il peut y avoir confusion, attention.) * Attention : Notion de stalking, de dark romance, de sang, de contenu mature. Être prêt(e) à lire des sujets qui peuvent être sensibles pour certains. PS : Je vous adore, Bonne lecture, R.

Elle a croisé son regard, elle a scellé son destin. « À moi ». Et il n'a jamais échoué à réclamer ce qui lui appartient