Nous sommes en 1892. Le 19ème siècle touche à sa fin et l'empire colonial britannique s'étend dans le monde entier. Célia Campbell est la fille cadette d'une grande famille londonienne dont la fortune a été construite grâce au négoce du thé. Dans le but de faciliter leurs échanges commerciaux, Mary Campbell, sa sœur ainée, est sur le point de se marier avec le fils unique d'un lord anglais expatrié et détenant la majorité des terres cultivables au nord du Bengale. Après un long séjour en bateau, Célia, sa famille et Sir Alexander Butler, le fiancé, arrivent à Bombay en vu de rejoindre Darjeeling où le mariage doit avoir lieu. Pour le voyage, ils empruntent le plus prestigieux des transports du pays : Le Darjeeling-Express, grand train de luxe faisant la liaison avec Bombay. Là-bas, Célia fait la connaissance de plusieurs personnes dont un détective assez spécial : Oscar Hughes. Mais les beaux jours sont loin et elle ne tardera pas à savoir que tout ce luxe cache quelque chose de plus insidieux. attention : meurtre, thèmes adultes, langage explicite, sexe.

« Qu'est-ce qui avait bien pu lui prendre, à ce jeune homme de bonne composition, pour venir mourir sur la somptueuse peau d'ours polaire de la bibliothèque ? » Au pensionnat de Touchet, une étrange apparition vient troubler la quiétude des demoiselles : rien de moins qu'un cadavre, en plein milieu de la bibliothèque. Et nu ! Quelle indécence ! L'une des pensionnaires doit cependant jouer un jeu moins innocent qu'il n'y paraît, car la police est formelle : personne n'a pu pénétrer dans l'internat pour commettre le meurtre. D'où vient donc le cadavre ? Et qui a eu l'impudence de faire disparaître ses vêtements ? NaNoWriMo 2014 Le dessin des pensionnaires est une courtoisie du talentueux @DrPralinus.

[ADAPTÉ EN WEBTOON ORIGINAL] Coline est tombée dans un escalier. Enfin, pas tout à fait... C'est plutôt Isidore qui l'y a malencontreusement propulsée. Résultat : une cheville foulée, des béquilles, six semaines d'attelle et l'impossibilité d'aller à la fête des 18 ans de Selim, son crush. Isidore mérite parfaitement son surnom de trouduc'. Aussi, quand, pour se racheter, le jeune homme se met en tête d'aider Coline à sortir avec Selim, cette dernière hésite. Et si, derrière son air dans la lune et ses blagues incessantes, Isidore s'avérait être un ami tout à fait potable, voire le meilleur auquel Coline puisse rêver ? (Anciennement dans le programme Histoires Payantes de Wattpad)

Lorsque l'on est une jeune orpheline en 1922, la vie est loin d'être un jeu d'enfant. Surtout, quand on habite dans un orphelinat où la règle principale est le silence. Où il est défendu de jouer et de rire. Où les enfants sont cloîtrés en attendant d'être adoptés par de riches parents qui voudraient bien d'eux. Où tous les jours, ils vivent sous la tyrannie de cette horrible "sorcière", la directrice, madame Métivier. Mais, même si la vie d'Elia rime avec interdit, personne ne peut l'empêcher de rêver. Elle rêve d'une vie au-delà de ces murs, de ces grilles, de cet enfer. Elle rêve d'un monde où la guerre, la famine et les punitions n'existent pas. Un monde loin de la violence des adultes. Elle rêve qu'un jour, elle aussi connaîtra le bonheur... TW : violence infantile grave (physique/psychologique) - Si ce sujet est difficile pour vous, passer votre chemin, vous trouverez bien un autre livre qui vous conviendra d'avantage ! -

"I must have hit my head a lot harder than I had anticipated, or maybe breathe too much smoke because this is definitely nut-case crazy. Or a very creepy dream that feels way too real for my own good. I can pat my subconscious on the back for that one, but at the same time, it might be a little over the top." When Melody set fire to a museum she didn't expect to hit her head on the pavement and wake up in a nightmare. But she does. And this nightmare is not a nightmare apparently--it's a curse. A curse that traps her into paintings. And there's no escaping from the wrath of a possessed painting out to teach an art-hater a lesson. Cover painting made by Soo Kim (http://sookimstudio.com/blog/)