Elliot, ( le vent ivre ) et les confettis de son cœur ou bien Lucille et ses jupes de couleur. Eden qui saute dans les flaques, avec Aurore qui sème des étoiles. Léo, sans cesse en colère, bien qu'on sache pas pourquoi. Et ces fragments de vies suspendues, comme autant de taches blanches sur la toile nocturne...

syndrome de la page blanche : impossibilité totale de commencer ou de continuer une œuvre.

O... phélie qui ne peut plus respirer, la faute à ses violettes. Ophé... lie qui déteste si fort son mari. Ophélie, Ophélie qui voudrait ( juste ) attraper le soleil.

Violette, ah ma belle Violette, si tu savais combien tu fais tourner de têtes et combien tu brises de cœurs...

Tu sais mon papa, l'amour c'est bateau bancal, c'était pas de ta faute...

Et c'est l'histoire de Mai. Celle de Janvier. De Décembre, de June, de Mars. Des fleurs, des falaises. Des pleurs et des danses. Une euphorie incontrôlable. Une fascination mortelle, les yeux dans les yeux. La folie amoureuse, jusqu'à l'obsession, une chute main dans la main. Ou tout simplement la douceur d'un air printanier, une odeur de vieux livres, un vieux fauteuil et des chats. Douceur et obsession. Et la folie.