Résumé foireux d'un rantbook trop sincère pour être confortable Martha, 18 ans. Un prénom de telenovela, une âme d'héroïne secondaire dans un roman russe. Elle aurait pu être architecte. Elle le sera peut-être. Si la société ne l'a pas déjà avalée. Ou sa lucidité. Elle écrit pour ne pas disparaître. Marmonne comme Midoriya, ronge ses ongles, regarde la vie avec des lunettes cassées par le réel. Elle a cru à l'amitié. Résultat : collection de désillusions rare édition "hypocrisie et non-dits". Sa vie ? Un mélange de BoJack Horseman, crise existentielle version MCU, et monologue intérieur qui ferait pâlir Dostoïevski. Elle n'a pas de psy, mais elle a des pages. Et un chat. Nietzsche. Qui juge tout en ronronnant. Ce "livre" (ou ce que c'est) : un champ de bataille. Textes entre confessions flinguées, sarcasmes tendres, autofiction nerveuse et poésie de survie. Un miroir brisé tendu au lecteur. Un "ça va" transformé en "je hurle sur papier". --- NOTE DE L'AUTEURE (IRL) Ce que vous venez de lire, ce n'est pas vraiment Martha. C'est moi. Celle qui vit derrière. Celle qui se cache dans les parenthèses. Ce n'est pas un livre. C'est un cri. Un peu de moi, laissé là, comme on dépose une bombe désamorcée. Il y a du vieux, du moche, du vrai. Ce qui m'a construite. Ce qui me ronge encore. Je n'écris pas pour plaire. J'écris pour rester debout. Et si ça résonne en toi, tant mieux. Sinon, ce n'est pas grave. Nietzsche vous salue. Moi, je retourne me perdre dans mes brouillons. ----- Publications de chapitres au moins une fois par semaine Le Samedi en général mais c'est pas encore très fixé

Elisabeth Baumann est perdue. Les Ailes de la Liberté semblent la guider vers la vérité perdue. Le monde, de l'autre côté du mur, regorge de réponses. Jusqu'où sera t-elle prête à aller pour enfin se connaitre elle-même ? Quels seront les limites de ses sacrifices ?

"Oui bon, j'ai écrit un truc. Lisez-le. Ou pas. Faites comme vous voulez." Bienvenue dans ce chef-d'œuvre involontaire, aussi cohérent qu'un rêve fiévreux à trois heures du matin, entre deux crises existentielles et une envie de Nutella. Ici, vous trouverez des personnages aussi mal calibrés qu'un meuble IKEA monté sans notice : bancals, un peu tordus, mais étonnamment attachants (ou du moins pas suffisamment antipathiques pour qu'on les jette dans un volcan). Le tout prend place dans un contexte vaguement défini, parce que, soyons honnêtes, les détails c'est surfait. Une ambiance familiale ? Une once de tragédie ? Du sarcasme ? Un jumeau au bord de la crise de nerfs ? Cochez tout. Ou rien. On s'en fiche un peu. J'ai écrit ce texte avec l'enthousiasme nonchalant d'un chat sur le rebord d'une fenêtre : pas trop motivé, mais vaguement investi, parce que pourquoi pas. Est-ce que c'est du génie incompris ou juste un gros gloubiboulga d'émotions, de dialogues passifs-agressifs et de non-dits dramatiques ? Je vous laisse décider. En tout cas, c'est là. Ça existe. Félicitations à moi, j'imagine. Bref. Lisez. Ou ne lisez pas. Aimez. Ou râlez. L'essentiel, c'est que j'ai écrit. Et franchement, c'est déjà pas mal.

MAXINE a un chignon trop lâche vissé sur la nuque et des questions dans la tête. SWANN chante sous la douche et gratte une guitare mal accordée. LOU mâchonne un chewing-gum et se balade en culotte dans les dortoirs. NOLWENN fume, boit, sort et emmerde le monde. ALOÏS griffonne des portraits sur des bouts de papier et essaye de trouver sa place. Cinq jolies jeunes filles appréhendent, doutent, espèrent et se questionnent, sur le sexe, les parents, les copains, les copines, les conneries... Sur la vie, tout simplement. ❝ On va piétiner nos rêves avant de vieillir ❞ ❝ Promis, juré, craché sur les tombes ❞ __RoZE__ © tous droits réservés

« Vous la voyez bien, Melania, sur cette tapisserie, non ? Son nom est toujours brodé de fils noirs et or à côté de celui d'Arcturus. Elle est la mère de Lucretia et Orion Black. La grand-mère de Sirius et Regulus Black, les ultimes héritiers de la Maison des Black. Elle les a connus. Elle adorait Regulus, elle disait qu'il ressemblait trait pour trait à son époux Arcturus. Très intelligent, très respectueux de l'honneur de la Maison des Black, un peu à part, un peu à l'écart du monde, mais toujours calme et pondéré. Un charme discret mais naturel et altier. La paranoïa en moins. » [Melania Macmillan Black, personnage de l'arbre généalogique des Black. TW : violences, sujets sensible.]

La vie continue, le vent souffle, le soleil brille et les nuages passent. On aime, on pleure, ça secoue et ça illumine alors on ressort comme des Picasso. Différents et pleins de couleurs. Noir, gris, banc... « Un cœur brisé est un cœur ouvert. » - Le soleil est pour toi, Jandy Nelson. ATTENTION ! CECI EST LA SUITE DE I - BLACK MOON, BLACK STORY ET DE II - GREY CLOUDS, WOLF STORY ET CONTIENT DE NOMBREUX SPOIL SI VOUS NE LES AVEZ PAS ENCORE LUES. Merci de continuer cette histoire, qui comme vous le savez j'aime d'amour. Bonne lecture, winter