Amanda Santos, âgée de 17 ans, vit avec Louis, son papa. Sa maman est décédée le jour de sa naissance. Son père est ouvrier dans une entreprise pour pièce moteur de voiture. Il fait tout son possible pour donner une vie confortable à sa fille même si quelques fois c'est dur. Amanda est une fille banale, plutôt discrète, réservée et qui ne parle pas trop aux autres lycéens de son lycée à part sa meilleure amie Marie qui connaît la vraie Amanda. Elle essaie toujours d'avoir des bonnes notes pour que son père soit fier d'elle comme il s'acharne au travail pour eux deux. Amanda ne sort pas beaucoup seule ou avec sa meilleure amie, n'a jamais fait le mur et jamais menti à son père. Pourtant ce jour va arriver et tout va basculer dans sa vie quotidienne à cause de ce garçon nommé Castiel Carter, le leader d'un gang. *** - Pourquoi ? Dit Amanda en tremblant. - Parce que ! Dit Castiel le dos tourné. - Parce que quoi ? Demanda Amanda, déterminée. - Tu me fais chier avec tes questions à la merde ! Cria-t-il, énervé. - Regarde-moi et dis-moi juste que tu ne m'as jamais aimée et que tu préférais baiser ta pute ! S'exclama-t-elle, énervée, avec les larmes aux yeux. Un long silence se fit, personne ne parlait. Castiel était toujours le dos tourné et Amanda avait le regard troublé avec ses larmes. ********* Je n'ai pas pu mettre tout le prologue, car ça ne veut pas donc cliqué lire pour voir la suite du prologue en espérant que vous allez aimez. A bientôt j'espère ... ♥

Louise vient d'arriver à Woodside, en Californie. Elle va y rencontrer ses nouveaux amis et elle va aussi LE rencontrer. Ce garçon. Il va changer sa vie. Ils ont besoin l'un de l'autre mais ne s'en rendent pas compte.

Julie Adams, 22 ans, vit à New-York. Elle va seulement postuler dans la plus grande agence de marketing d'Amérique pour un stage. Mais, ce simple job va changer une grande partie de sa vie. Son passé refera surface et elle va faire la connaissance du fils du patron de l'agence ce qui va d'autant plus la perturber. Ils ne connaissent pas vraiment mais ils ne s'apprécient pas beaucoup. Enfin du moins, c'est ce qu'ils croyaient.