Quand les préjugés priment sur les valeurs sociale et religieuse, c'est difficile pour deux amoureux de classes sociales différentes de s'unir. Une réalité à laquelle beaucoup de gens de notre société sont confrontées. " ma fille ou mon fils n'épousera pas celui là ou celle là parce qu'elle ne fait pas parti de notre rang social" " tu ne vas pas l'épouser parce que qu'il ou elle ne fait pas parti de ma famille"..... Des expressions que la plupart des Hommes de notre société aiment utiliser quand il s'agit de donner leur accord dans le mariage de leurs enfants. Des projets de mariage qui ne verront jamais le jour à cause de ses préjugés sociales, des parents qui sont prêts à renier leurs enfants parce qu'ils ont décidés d'épouser une fille ou un garçon qui n'est pas de la même classe qu'eux. Cette jeune femme issue d'une bonne famille du nom de Sarata Thiam fille du riche homme d'affaire elhadji babacar Thiam et de Nafisatou Thiam sera victime de ses préjugés sociales. Même si elle est arrivé à se marier avec l'homme de sa vie, Elle est rejetée par sa belle famille parce que tout simplement elle est teugg ( forgeron). Je vous invite à venir découvrir avec moi l'histoire Sarata thiam : mon mariage à l'epreuve des castes.

« 𝐂'𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐮𝐢 𝐥'𝐡𝐨𝐦𝐦𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐣'𝐚𝐢 𝐭𝐚𝐧𝐭 𝐚𝐭𝐭𝐞𝐧𝐝𝐮, 𝐜𝐞𝐥𝐮𝐢 𝐪𝐮𝐢 𝐦'𝐚𝐢𝐦𝐞 𝐫𝐞́𝐞𝐥𝐥𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 . 𝐉𝐞 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐠𝐚𝐫𝐝𝐞 𝐞𝐭 𝐣𝐞 𝐦𝐞 𝐝𝐢𝐬 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐣𝐞 𝐩𝐞𝐮𝐱 𝐟𝐢𝐧𝐢𝐫 𝐦𝐚 𝐯𝐢𝐞 𝐬𝐚𝐧𝐬 𝐥𝐮𝐢 ? » 𝐓𝐎𝐌𝐄 𝟏 𝐊𝐇𝐀𝐋𝐄𝐒𝐒𝐈 𝐩𝐫𝐨𝐝𝐮𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧™️

La belle et douce. Le nerveux. Viens découvrir l'histoire de Khady.

TERMINÉ ❤ Aymen , 20 ans va être forcée à se marier avec la fille qu'il n'aime pas . Début : 27 / 04 / 2020 Fin : 03 / 07 / 2020 Story by : la_bledardeee Cover by : _Queeen_of_night

Pas de description. Lisez l'histoire, vous verrez par vous-même. #2 en catégorie deuil. #16 en catégorie histoire. #86 en catégorie haine. by : @uneespagnola

Médina, jeune femme de 20 ans qui a subit durant toute son enfance des coups de ses parents. Pourquoi ? Et Quand cela a-t-il commencer ? Tout a commencé lorsque son grand frère ; Karim décède suite à un accident de voiture. Ses parents en veulent à Médina pour aucune raison, elle n'a rien fait... Au fil du temps, ses parents la haïssent, Médina se sent de plus en plus coupable de la mort de son frère... [Cette chronique est à prendre au second degré malgré le thème fort de la maltraitance d'un enfant qui a une morale sur l'histoire. Mais c'est aussi une forme exagéré de ce style là de chronique, c'est donc une fiction, pour le coup, une vraie fiction car il y a souvent des trucs pas réaliste.] © Copyright, Tous droits réservés Aucune copie/plagiat et pub ne sera tolérée par l'auteur de ce cette chronique. Date de création : 2014 Date de publication : 2014 Fin : 2015 -Chroniikeuse

Kenza et Sofiane, une histoire d'amour plus compliquer que jamais...

" Dérouté et dégoûté d'la vie quand elle est vexante, Quand on perd un proche d'une manière ou d'une autre ça nous sert d'exemple . On a fait du mal, on a fait du bien, Ça nous servira pour la suite, un mal pour un bien . Pourquoi attendre qu'il y'ait des morts pour resserrer les liens ? Demain sûrement on s'en va, j'prend la vie comme elle vient . Chaque prise de conscience arrive en même temps qu'un drame . "

je m'appelle Alia, j'ai 18ans. Mes parents sont morts quand j'étais petite dans un accident de voiture dont nous avons survécu moi et mon petit frère . j'ai deux frères un grand qui s'appelle Youness et un petit qui s'appelle Djibril. Physiquement je suis brune, les yeux verts clairs, une bouche pulpeuse, plutôt mince avec des formes là où il le faut. Mentalement je suis plutôt impulsive, je ne prends pas toujours les bonnes décisions mais pour moi c'est la famille avant tous. J'avais une vie banale jusqu'à ce que tout sois chamboulé ...

"la misère est si belle"