Sokhna n'est pas aussi gâtée que ce que l'on pourrait penser à première vue. Elle a juste été un peu trop couvée par les membres de sa famille. Surtout par sa mère qui aurait presque pu être sa grand mère. Mais à la mort de cette dernière notre jolie petite naresse verra son équilibre basculé. Et sa vie prendra un autre tournant. Notamment , avec sa rencontre avec le beau Fadel. Fadel NIANE, est un véritable aimant à problèmes. D'une beauté à couper le souffle, il attire le regard et la convoitise bien malgré lui. Après tout, ce n'est pas de sa faute s'il est le fruit d'un métissage explosif. Seulement, la seule qu' il ait jamais convoitée semble étonnamment être insensible à son charme mais également beaucoup trop jeune pour lui. Mais alors pourquoi ne quitte t'elle pas ses pensées? Ce n'est qu' une gamine pourrie gâtée qui se prend pour le nombril de l'humanité et elle n'est même pas mon genre... Et puis, même si je la voulais c'est impossible à cause de cette foutue PROMESSE. Jamais je ne trahirai la mémoire de mon père....C'est ce qu'il ne cesse de se répèter. Mais hélas quand le coeur parle, la raison prend des vacances. Venez plonger dans l'univers de ces deux jeunes gens qui se croient incompatibles, alors que tout les unit. - Elle est trop grande gueule. Mais c'est moi qui vais refaire son éducation. Paroles de Mouhamed Fadel -Mais pour qui se prend t'il? Ce mec me sort par les narines. Parce que je suis beau et je ne me prends pas pour de la merde je me crois tout permi?? Non mais big LOL. Je vais le régler comme une horloge c'est moi Sokhna Diarra Aidara thiatou yayam (benjamine) qui vous le dis.

Il était rentré un soir, plus tard que d'habitude et l'air plus sévère encore, il était énervé. - bonsoir monsieur, je vous chauffe votre repas? Raphaël : monte dans la chambre en face de la mienne et déshabille toi. - qu.. quoi ?? Raphaël : tu n'ai pas là pour me servir et satisfaire mes besoins ? - ou.. oui monsieur, mais- Raphaël : alors maintenant monte et fais ce que je te demande. Il me devance et se dirige vers sa chambre, quant à moi, mes larmes ne cesse de coulé, j'essaie de les contrôlé mais je n'y arrive pas. J'était beaucoup trop angoissée. Puis je repense à mon père, la vie de misère que je mené là bas et surtout ce qu'il m'attend si Raphaël venait à se plaindre de moi. Je me ressaisi en essayant mes larmes. Je rentre dans cette pièce sombre, toute tremblante et retire mes vêtements un à un et les dépose sur le canapé qui se trouve dans la chambre.