Depuis la nuit des temps, depuis le premier levé de soleil de l'univers, et aussi longtemps que celui ci se couchera à l'ouest, les hommes font la guerre. Ils la font pour se dominer les uns les autres, pour se prouver leur courage, pour exposer leur armée. Finalement, elle devient une tradition, presque un devoir, et seul un fou pourrait songer à briser le cercle vicieux. Sur les terres de Musutafu, et au cœur de sa capitale Yuei, l'actuel roi siège sur son trône depuis trente longues années. De guerre en guerre, il a su s'illustrer comme un souverain courageux et déterminé, prêt à tous les sacrifices de son peuple pour faire entendre son pouvoir par delà tous les horizons. Sa plus grande fierté ? Katsuki, chef de son armée, commandant des troupes qu'il a lui même formé dès son plus jeune âge . Un homme jeune et fort autant que loyal et dévoué, sans qui certaines de ses victoires n'auraient pas pu exister. Sa plus grande honte ? Izuku, son fils et unique héritier. Prince sans armes et aux convictions ridicules de paix et de communion, s'évertue chaque jour à décevoir son roi en refusant de s'impliquer dans les combats de sa future armée. Son dernier espoir ? Que son admiré chef d'armée parvienne à faire de son stupide fils un futur roi impliqué qui, à son tour, maintiendra la tradition de guerre lors de son couronnement. Et, en forçant une rencontre faussement fortuite entre sa honte et sa fierté, est-il vraiment préparé à en assumer le résultat ? [BakuDeku] Univers alternatif.

[Reprise et fin de cette fic en 2025] Au loin, Izuku voyait l'aube apparaître, éclaircissant doucement le ciel et il ne put qu'esquisser un léger sourire... Ca y ait... C'était l'heure. Après tout ce temps, il allait enfin revoir un lever de soleil. Le tout dernier. Ses yeux verts, brillants, captivés par cette vision s'écarquillèrent brusquement et il ne put s'empêcher d'humer l'air, cherchant par ses instincts primaires, cette odeur de sang qui l'assaillait. Se détournant de cette vue qu'il avait tant désiré, tous crocs sortis, ses jambes bougèrent d'elles-mêmes et il entendit le geignement d'une voix, dans le bois. Oubliant son envie de rencontrer le soleil... Histoire de 10 chapitres pour Halloween 2022. UA, Vampire/Loup-garous. Disclaimer: Cette histoire sort de ma tête mais les personnages appartiennent à Kõhei Korikoshi ! Cette histoire me tient très à cœur, bonne lecture à tous !

Il existe dans le monde des personnes appelé "réceptacles" Leurs travail est simple, en l'échange d'une somme d'argent considérable les personnes au passé les plus sombres peuvent leur transférer leurs émotions les plus sombres, s'en débarrassant alors comme si elles n'avaient jamais existé. Izuku est l'un de ces réceptacles.

(en cours de réécriture) Lorsque ses amis lui annonce un travail de groupe sur lequel ils sont en retard Katsuki n'a pas l'air surpris, pas plus que lorsqu'il se retrouve à les accompagner à leur nouveau lieu de révision. Apres tout la routine n'a pas épargné le blond qui malgré son jeune âge ne trouve plus grand intérêt en se qui l'entoure. Peut-être le serveur du nouveau café populaire du coin saura allumé cette petite étincelle de curiosité ? ........... katsudeku Romance bl Univers alternatif (pas de pouvoir) Peut contenir des scènes explicites (toujours précisé) Les personnages ne m'appartiennent pas, mais l'histoire oui. Je respecte l'œuvre original et dissocie totalement les personnages de l'œuvre original de celle que vous aller lire. Je ne fais qu'empreinter le nom et l'apparence des personnages.

Deku et Katchan âgé de 22 et 23 ans vivait dans un petit appartement tranquillement en faisant des petits boulots pour gagner de l'argent,jusqu'à qu'un élément assez étrange ne vienne bousculer le cour de l'histoire......(EN CORRECTION) (katsuke ;) et dekuke aussi bien-sûr)

J'aurais jamais dû le suivre. Pas dans une laverie abandonnée. Pas au milieu de la nuit. Pas du tout, en fait. J'aurais pu partir. J'aurais pu lui dire d'aller se faire foutre et rentrer chez moi en lui faisant un doigt d'honneur de dos. Ouais, j'aurais pu. Et puis je l'ai vu. Et puis je me suis dit que pour le coup, ça valait peut-être la peine de rester.