"Dans la vie, il existe des douleurs que les mots ne savent nommer." Depuis plusieurs années, Aster Palmer se bat contre un ennemi invisible : la dépression. À un si jeune âge, épuisée par cette lutte silencieuse et accablée par la culpabilité de ne pas être "assez forte", elle met brutalement fin à ses jours. Derrière elle, elle laisse une mère, Callista, dévastée. Une mère face à l'impensable. Une mère rongée par les questions : Pourquoi ? Comment ai-je pu ne pas voir ? Où ai-je échoué ? Mais parfois, il n'y a pas de réponse. Parfois, la douleur dépasse l'entendement. Et même en essayant de comprendre, on ne peut jamais réellement savoir. Ce conte n'est pas une histoire de suicide. C'est un murmure. Celui d'une âme qui s'efface dans le silence. Ce n'est pas une quête de coupables ni une leçon toute faite. C'est une invitation à s'asseoir, à écouter, à regarder ce que l'on préfère souvent ignorer. Alors... À votre avis, comment vit-on lorsque la douleur devient de plus en plus forte ? Comment arrive-t-on à la camoufler aussi longtemps sans faillir ?

Charles Baudelaire, poète maudit du mouvement littéraire symboliste utilise la métaphore de la boue et de l'or pour plonger le lecteur dans un univers sombre et envoûtant en passant par une poétique parfait en tout point. La chevelure, spleen et la charogne sont sans doute les plus beaux poèmes de ce recueil. Les Fleurs du mal est un recueil de poèmes de Charles Baudelaire, englobant la quasi-totalité de sa production en vers, de 1840 jusqu'à sa mort survenue fin août 1867. Publié le 23 août 1857, le livre scandalise aussitôt la société conformiste et soucieuse de respectabilité.