Fragile et discrète, Cerise subit chaque jour les humiliations de Lana, la petite amie de son ancien meilleur ami, Lucien. Mais tout bascule lorsqu'elle retrouve Lucas, le frère de Lucien : froid, marqué par ses blessures, il dégage une force qui la trouble. Leur rencontre inattendue pourrait bien tout changer, réveiller des émotions enfouies et révéler des secrets qu'aucun d'eux n'avait imaginés.

Remake de The Idol crée par Abel Tesfaye et Sam Levinson. "You don't know what's in store... But you know what you're here for..." The Weeknd - High For This Entre rêve californien et désillusion, « Heaven or Beverly Hills », remake librement inspiré de la série HBO The Idol créee par The Weeknd, raconte la quête éperdue d'une génération en mal de repères. Dans un Los Angeles éclatant de soleil mais rongé par ses ombres, destins brisés et espoirs fragiles se croisent. Amours impossibles, secrets inavouables et fêlures intimes se dévoilent au fil des pages, jusqu'à faire vaciller la frontière entre paradis et enfer. Et si, derrière les palmiers et les néons, la véritable lutte n'était pas de réussir... mais de survivre à soi-même ? Un chapitre est disponible toutes les deux semaines.

Dans les collines brûlées du Sud d'Haïti, à Nan Boukan, Asefi Désir rêve d'un ailleurs. Sa jeunesse se consume entre une sœur malade et un horizon bouché. Elle veut plus que la poussière : elle veut la lumière, la ville, un destin. Alors, quand Aura, une vieille connaissance revenue de Port-au-Prince, lui tend une perche, Asefi s'y agrippe. Elle acceptera tout, même la condition de bonne, pour une chance de s'élever. Mais derrière les hauts murs de la Résidence Weiss, les promesses se fanent vite. Aurora Weiss, maîtresse de maison brillante mais absente, se cache derrière son chagrin. Klinton Weiss, son mari, incarne au contraire cette intensité orageuse qui attire les regards. Et Asefi, affamée de vie, s'y brûle déjà les doigts. Ici, les silences lacèrent plus que les cris. Le désir circule en secret, se glisse entre les plats servis et les regards dérobés. Dans ce théâtre de l'ombre, les murs étouffent les pleurs mais jamais les parfums. Et la question demeure, lancinante : à qui appartient le cœur d'un homme, quand les femmes en détiennent la maison, la clé... et la cuillère ?