Quand les hiérarchies s'effondrent, le véritable chaos commence... Dans les salons feutrés du pouvoir, les règles sont claires : - Les Alphas commandent - Les Omégas obéissent - Personne ne questionne l'ordre établi Jusqu'à eux. Dylan Monroe, l'Oméga qui porte des costumes comme des armures. William Carter, l'Alpha qui joue avec le feu sans se brûler. Leur rencontre va faire voler en éclats toutes les conventions. Attention⚠️ : Ceci n'est pas une histoire d'amour. C'est une déclaration de guerre.

Personne ne sait ce qu'est vraiment Umbra. On entend le nom, parfois. Dans les couloirs feutrés d'un tribunal. Dans un club, à demi ivre. Au détour d'un échange d'argent entre deux mains gantées. Un nom qui revient. Qui rôde. Un nom qu'on n'ose pas interroger. Certains disent que c'est une organisation. D'autres, un mythe. Un mot utilisé pour couvrir des actes que personne ne veut signer. Il n'y a pas de visages. Pas de lieu fixe. Aucune empreinte visible. Juste ce mot. Umbra. Les puissants évitent d'en parler. Les faibles l'invoquent comme une excuse. Et ceux qui pensent savoir... disparaissent. On ne sait pas ce qu'ils font. Commerce ? Politique ? Crime ? Rien n'est sûr. Juste une sensation, une vérité diffuse : quand Umbra entre dans une pièce, même les lois se taisent. Et pendant que la ville s'agite, que les gens vivent, mangent, aiment ou mentent... Quelqu'un, quelque part, tire les fils. Dans l'ombre. Toujours dans l'ombre.