UN TEXTE POUR TOUS - texte - témoignage - photo

Salut, voilà je me commence tout d'abord par la présentation de mon ecris ( mon histoire ) la chronique est totalement vrai je changerais seulement les prénoms . Je vais vous raconter mon parcours de mes 13 à mes 18 ans ensuite vous écrire de temps en temps des journée type des jour présent . Mon histoire est partager entre hbes,séparation, décès,ma uvaise fréquentation et amour . Moi c'est siana je suis algérienne jai aujourd'hui 18 ans . je suis une fille type rebeux parfois en me sort des origine du genre chinoise japonaise ou bien marocaine . je suis très matte de peau j'ai des yeux marron noissette / vert qui fait ressortir mon bronzage. Voilà faite tournée mon histoire .

Moi je m'appelle Kahyna, j'ai 22 ans, mon mari s'appelle Aymen et il a 26 ans. Notre mariage forcé c'est le mektoub certe, mais bonheur ou malheur? Venez vite le découvrir!

prologue salut les filles et peut etre les garçon (on sait jamais mdrrrr ;-).) je vais vous raconter l'histoire de ma vie qui etait bien pourri avant cet évènement lol je vais vous raconter ou tout ta basculé pour moi. Si sa vous interessent alors resta la ne bouger surtout pas le doigts mdrrr faut que j'arrete, je deviens folle ;). Je n'écris pas cette histoire pour les j'aimes mais je l'écris dans le bute de vous montrez que rien est acquis dans la vie, vous pouvez être né ds une famille aisé du jour au lendemain vous pouvez tt perdre, vous pouvez etre tres studieux a l'ecole du jour au lendemain vous pouvez aller dans le mauvais chemins, vous pouvez être une personne qu'on croit sans avenir du jour au lendemain vous pouvez avoir ce declic qui fait que vs vs relever donc comme je vous l'ai dis rien est acquis faite du bien autour de vous, aidez les personne dans le besoin car cette personne pourrait devenir vous plus tard ou demain alors rester humble et ne tromper personne.

Leina, 21 ans, qui vient de s'installer dans une cité du 93 retrouve un soir un petit nourrisson dans une ruelle. Ne se voyant pas le laisser seul elle décide de le prendre, après quelques temps elle s'attache à ce nouveau né et décide de le garder. A qui appartient cet enfant ? Fera-t-elle le bon choix ? Comment réagirons les gens ?

Melyna, jeune infirmière de prison. Elle travaillera pour pouvoir donner des nouvelles de son frère incarcérés à sa mère. Mais elle ne s'attendais pas à découvrir autant de choses dans cette maison d'arrêt. Entre amour, vengeance, biz venez découvrir son histoire.

BIPBIPBIP -mon réveille- Je l'arrête, et me recouche quand la porte s'ouvre brusquement: Maman: ALLEZ benthi (ma fille) debooout Moi: Hummm j'arrive Je me lève difficilement pour ne pas subir les coup de babouche de ma mère, et part prendre mon petit déjeuner. Aujourd'hui est un grand jour, c'est mon premier jour en temps qu'infirmière, mais pas dans un hôpital. Non dans une prison ! Je met une tunique de couleur saumon a cole Carol en dentelle, un pantalon a pince super léger blanc et une paire de sandale saumon. J'attrape mon sac et mes lunettes de soleil. Et part au salon voir ma mère: Moi: Bon maman j'y vais Maman: Ma fille n'y va pas s'il te plais. Moi: Bah pourquoi tu ma réveiller? Maman: Ma fille les filles sa ne travaillent pas dans les prisons , et surtout pas infirmière dans les prisons mais dans les hôpitaux! ...

Aux yeux de la société les mecs comme moi on les nomme "racaille", "banlieusard", "voyou". Aux yeux des filles on est des "beaux gosses", "mecs à meufs", "bailleurs" .. Aux yeux des mecs qui viennent pas de chez nous on est tout simplement une menace. On nous qualifie de loups, de lions, de prédateurs, d'animaux. Mais est ce qu'ils regardent dans nos cité hein ? Est ce qu'ils ont vu mon 93 ? Ils ont vu Marseille ? Lyon ? Rouen ? Grenoble ? Toulouse ? Lille ? Roubaix ? Tout Paname ? Non parce que pour eux du Nord au Sud on est des individus dangereux. Ils nous entassent dans des tours sans ascenseurs, demande à nos soeurs de pas porter leurs voiles en publics et à nos freres de respecter leurs lois. Mais .. Leurs lois dans nos cité elles restent à la porte. Chez nous c'est pas comme chez eux. Les gens des cités on est souvent qualifiés de ce qu'on est pas mais moi APPEL MOI SAPHIR !