Abou-le-motard
Après avoir exploré les blessures intimes dans La vie est ironique, ce deuxième tome plonge au cœur des violences collectives, de l'injustice ordinaire, et des silences institutionnels.
Ici, ce ne sont plus seulement les trahisons personnelles qui frappent. C'est la société elle-même.
La bureaucratie froide. Les inégalités criantes. Les humiliations polies.
Le monde n'épargne pas ceux qui doutent, ceux qui espèrent, ceux qui tombent en silence.
À travers des récits profonds, des exemples réels, des histoires oubliées, l'auteur lève le voile sur une cruauté quotidienne : celle qu'on ne voit pas toujours, mais que tant vivent en silence.
Licenciements injustes, aides refusées aux plus démunis, discriminations voilées, rêves étouffés : chaque page résonne comme un cri retenu, un miroir de ce que beaucoup n'osent pas dire.
Le monde est cruel n'est pas une plainte. C'est un acte de lucidité.
C'est un livre pour ceux qui se sentent écrasés par l'injustice, invisibles dans la foule, fatigués de survivre.
Un livre qui ne juge pas, mais qui regarde en face.
Un livre qui dit ce que d'autres préfèrent taire.