Salam la famille, moi c'est Hayssa une sénégalaise-malienne de 18 ans (au moment de l'histoire). Entouré de ma famille et de mes amies j'ai vécu une vie très mouvementée entre mariage forcé, trahison et amour de jeunesse lol je ne savais pas ou donner de la tête ! Venez lire vous serais pas decu In shâ Allah

Diouldé détruite par ses parents... Comme dans beaucoup de pays africain, des filles sont forcées à se marier a bas âge juste par ce que leurs parents en ont décidé. Mais Est-ce qu'ils peuvent imaginer même un tout petit peu la douleur que ces filles peuvent ressentir ?Non.. Diouldé gardera a jamais les séquelles mais c'est qui est sûr, c'est qu'elle ne pardonnera jamais à ses parents, car chaque fois qu'elle était forcé de satisfaire les envis de son mari elle les maudissait dans son fort intérieur. . . . L'histoire participe au wattys 2020 170 tristesse en janvier 2020 158 tristesse en février 2020 2triste en mars 2020

Chronique sénégalaise

On naît. On grandit. On planifie notre vie. On rêve, on s'amuse. On banalise tout. On croit avoir le contrôle, croire qu'on saura toujours distinguer le raisonnable du dangereux. Nafissatou aussi pensait comme ça. Une vie droite, sans faille. Tout était bien rangé : une éducation solide, un avenir tracé, aucun excès, aucun chaos. Rien ne débordait. Puis il est arrivé. Un homme qui ne se présentait pas. Il imposait. Une présence brute. Un regard qui transperce, une voix grave, lente, pleine d'assurance. Il ne demandait rien, il prenait. Tout en lui appelait l'instinct : la manière dont il bougeait, dont il regardait, dont il souriait avec ce calme prédateur. Un mâle alpha. Et Nafissatou a cédé. Lentement. Sans s'en rendre compte. Il n'avait rien fait, pourtant. Juste existé devant elle. Il est entré dans sa tête comme une pensée qu'on n'arrive plus à faire taire. Il est devenu un repère, un poison, un feu. Elle se surprenait à attendre un message, un geste, un regard. À se plier à ce que lui décidait, même en silence. Ce n'était pas de l'amour. Ce n'était pas un sentiment banale. C'était lui. Il avait tout inversé en elle. Ce qu'elle appelait « obsession » était déjà bien trop doux pour ce que c'était devenu. Puis... Nafissatou a cessé d'exister en dehors de lui. Elle était entièrement dépendante de sa présence, de ses humeurs, de sa volonté. Elle n'existait plus que pour lui, par lui, autour de lui. Et elle ne savait même pas si elle voulait s'en sortir. Parce que quelque chose en elle... l'aimait encore. Même dans la destruction. Même dans la perte de soi.

Aminata est une fille de teint noir et très croyante, mais surtout ayant foie en Dieu. Elle ne manque aucune prière, et elle méprise tout ce que la religion ne recommande pas. Elle ne vit que selon ces coutumes et croyances. Alaric est un homme à femme, un sénégalais! Il refuse de se marier, ne voulant pas s'engager. Il ne passe ces soirées qu'entre l'alcool et des femmes. Il ne prit jamais, un vrai délinquant!(n'écoute personne et ne fait que ce qu'il veule) Que se passerait-il, si notre belle africaine (guinéenne de surcroît musulmane) se mariait par le plus grand des hasards à une personne dont elle méprise d'habitude? Êtes vous curieux de le savoir, c'est bien car moi aussi. Venons donc vivre la vie d'Aminata, qui sera remplit de suspens, de trahison, mais surtout d'amour et de combativité pour gagner une place dans le cœur des membres de sa belle famille. Aminata comprendra t-elle un jour que la vie ne se resume pas qu'à la religion, ou maintiendra t-elle ses idées? Et Alaric changera t-il pour le meilleur? Découvrons le ensemble dans cette histoire