Le sens de l'amour

Selem Alaykoum, chère lectrice. Si aujourd'hui je prends la plume, ce n'est pas pour me plaindre, ni pour chercher la pitié. C'est parce que j'en ai assez. Assez de ressasser mon passé, assez de le laisser m'empoisonner. Alors, je viens ici pour l'écrire... et peut-être l'enterrer à tout jamais. J'ai grandi dans ce que beaucoup appellent un "cadre de bourge". Sur le papier, ça faisait rêver. Une belle maison, du confort, une vie que d'autres auraient enviée. Mais en réalité ? Derrière les apparences, il y avait une vérité que personne ne voulait voir. Pour les autres, ma vie se résumait à une seule étiquette : riche. Tu es riche, donc tu n'as pas de problèmes. Tu es riche, donc ta vie est parfaite. Tu es riche, donc tu ne peux pas être malheureuse. Mais ce qu'ils ne savent pas, c'est qu'il n'y a rien de plus faux. Parfois, j'aurais voulu ne pas être "riche", juste pour qu'on me voie pour qui je suis vraiment. Parfois, je me suis sentie coupable d'avoir ce que d'autres n'avaient pas. Et parfois, j'étais jugée parce qu'on pensait que je ne comprenais pas les autres, alors que je me débattais simplement dans ma propre vie. La vérité ? Cette richesse qu'on m'enviait n'était qu'un voile. Derrière, il y avait des blessures, des peurs, et une tristesse que peu peuvent imaginer. Croyez-moi... j'aurais préféré mille fois une vie plus simple, plus légère, plutôt que ce poids qu'on appelle "luxe". Et seul Allah sait ce qu'il y a de mieux pour moi. Et pourtant, malgré tout, je dis El Hamdoulilah. Toujours. En toute circonstance. Alors si je raconte mon histoire aujourd'hui, ce n'est pas pour me plaindre. Allah m'a donné, et je L'en remercie. Mais j'expose ces faits pour ouvrir les yeux sur une vérité que beaucoup ignorent : derrière l'image dorée des "riches", il y a parfois plus de douleur que de rêve. Bonne lecture.

"ᴍᴏɪ? ᴍᴇ ᴍᴀʀɪᴇʀ? ᴍᴀɪs ʙᴀʙᴀ ᴊ'ᴀɪ 18 ᴀɴs.." 💭 «On s'est trouvés pour s'aimer on s'est perdu violemment, en vrai peut être qu'on s'aimait pas vraiment..» -ɴɪʀᴏ Fictif avec éléments réels

Cette fanfiction se passe dix-neuf ans après le tome sept. Le tome 8 n'est pas vraiment pris en compte hormis certains éléments (exemple : les personnages et la plupart de leurs affinités). Brooklyn Jedusor rentre à Poudlard la même année qu'Albus Potter. Ayant vécu dans un orphelinat, elle ne connait rien de ce monde, tout le contraire d'Albus. Mais elle cache quelque chose. Et, au moment où un nouveau danger plane sur le monde des sorciers, le seul moyen d'y faire face est de ne pas se diviser. Au milieu de la famille, des amis et des ennemis, la limite entre le bien et le mal est minime. Info importantes James est né en novembre 2003 Albus est né en octobre 2005 Brooklyn est né en février 2006 Lily est née en juillet 2008

«𝐀𝐢𝐦𝐞𝐫 𝐜'𝐞𝐬𝐭 𝐨𝐟𝐟𝐫𝐢𝐫 𝐚̀ 𝐥'𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐬𝐨𝐧 𝐚̂𝐦𝐞, 𝐮𝐧 𝐫𝐞𝐟𝐮𝐠𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐩𝐞𝐫𝐬𝐨𝐧𝐧𝐞 𝐝'𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞 𝐧𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫𝐫𝐚 𝐡𝐚𝐛𝐢𝐭𝐞𝐫» "Sevmek, diğerine ruhunda bir yer sunmaktır, başka kimsenin yaşayamayacağı bir sığınak." ʜɪsᴛᴏɪʀᴇ ʀᴇ́ᴇʟ ɴᴇ ᴊᴜɢᴇᴢ ᴘᴀs sᴠᴘ. ғᴀɪᴛᴇ ᴘᴇʀᴄᴇʀ sᴠᴘ. ᴄʜʀᴏɴɪǫᴜᴇ ᴅ'ᴀʏʟɪᴢ: ᴍᴏɴ ᴘᴀssᴇ́ ᴍᴀ ᴠᴏʟᴇ́ ʟ'ᴀᴠᴇɴɪʀ 🦋🖤

𝖬é𝖽𝗂𝗇𝖺. É𝗅𝖾𝗏é𝖾 𝗉𝗈𝗎𝗋 𝗍𝗎𝖾𝗋, 𝖿𝖺ç𝗈𝗇𝗇é𝖾 𝗉𝖺𝗋 𝗅𝖺 𝗏𝗂𝗈𝗅𝖾𝗇𝖼𝖾, 𝖾𝗅𝗅𝖾 𝗇𝖾 𝖼𝗈𝗇𝗇𝖺î𝗍 𝗇𝗂 𝗅𝖺 𝗉𝖾𝗎𝗋 𝗇𝗂 𝗅'𝖺𝗍𝗍𝖺𝖼𝗁𝖾𝗆𝖾𝗇𝗍. 𝖥𝗋𝗈𝗂𝖽𝖾, 𝗌𝗈𝗅𝗂𝗍𝖺𝗂𝗋𝖾, 𝖾𝗅𝗅𝖾 𝗇'𝖺 𝗊𝗎'𝗎𝗇𝖾 𝗋è𝗀𝗅𝖾 : 𝗌𝗎𝗋𝗏𝗂𝗏𝗋𝖾. 𝖩𝗎𝗌𝗊𝗎'à 𝖼𝖾 𝗊𝗎'𝖺𝗉𝗉𝖺𝗋𝖺𝗂𝗌𝗌𝖾 𝖸𝗌𝗁𝖾𝗆. 𝖬𝗒𝗌𝗍é𝗋𝗂𝖾𝗎𝗑, 𝗉𝗎𝗂𝗌𝗌𝖺𝗇𝗍, 𝗂𝗆𝗉𝗋é𝗏𝗂𝗌𝗂𝖻𝗅𝖾... 𝗂𝗅 𝗅𝖺 𝗍𝗋𝗈𝗎𝖻𝗅𝖾 𝖺𝗎𝗍𝖺𝗇𝗍 𝗊𝗎'𝗂𝗅 𝗅𝖺 𝗆𝖾𝗇𝖺𝖼𝖾. 𝖫𝖾𝗎𝗋 𝗋𝖾𝗇𝖼𝗈𝗇𝗍𝗋𝖾 𝖽é𝖼𝗅𝖾𝗇𝖼𝗁𝖾 𝗎𝗇𝖾 𝗅𝗎𝗍𝗍𝖾 𝖾𝗇𝗍𝗋𝖾 𝖽é𝗌𝗂𝗋 𝖾𝗍 𝗍𝗋𝖺𝗁𝗂𝗌𝗈𝗇, 𝗏é𝗋𝗂𝗍é 𝖾𝗍 𝗆𝖾𝗇𝗌𝗈𝗇𝗀𝖾, 𝗉𝖺𝗌𝗌𝗂𝗈𝗇 𝖾𝗍 𝗆𝖺𝗇𝗂𝗉𝗎𝗅𝖺𝗍𝗂𝗈𝗇... 𝖤𝗍 𝗌𝗂 𝗌'𝖺𝗍𝗍𝖺𝖼𝗁𝖾𝗋 à 𝗅𝗎𝗂 𝖽𝖾𝗏𝖾𝗇𝖺𝗂𝗍 𝗅𝖺 𝗉𝗅𝗎𝗌 𝖽𝖺𝗇𝗀𝖾𝗋𝖾𝗎𝗌𝖾 𝖽𝖾𝗌 𝖿𝖺𝗂𝖻𝗅𝖾𝗌𝗌𝖾𝗌 ? « 𝑴é𝒇𝒊𝒆-𝒕𝒐𝒊, 𝑻𝒆𝒔𝒐𝒓𝒐... 𝒋𝒆 𝒏𝒆 𝒕𝒖𝒆 𝒑𝒂𝒔 𝒕𝒐𝒖𝒋𝒐𝒖𝒓𝒔 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒎𝒆𝒔 𝒂𝒓𝒎𝒆𝒔. »

salut je vous raconte ce que j'ai vecu ma vraie histoire ma vrai moi svp je veux pas de mauvais commentaires

STORY TIME fêtes pas flop

chronique inspire de faits reel avec des passages fictifs.