Cette année, les élèves de terminale doivent se doter d'un binôme choisi au hasard appelé « partenaire scolaire ». L'objectif est de faire tous les travaux de groupe de l'année avec ce partenaire. Étienne est jumelé avec Mathias, un garçon froid et peu bavard. Comme Étienne a exactement le même tempérament, ce n'est pas forcément une bonne chose ; leur duo risque de manquer de dynamique... En plus de cela, cette année, Étienne n'est plus dans la classe d'Antoine et Sar, ses meilleurs amis. Heureusement, cela ne l'empêche pas de continuer à les voir. C'est d'ailleurs avec eux qu'il se rend à un match de hockey et à une fête un vendredi soir. Ce jour-là, il tombe sur la dernière personne qu'il aurait pensé revoir...

Envoyé par ses parents dans une pension élitiste, Emara se retrouve entouré de personnes dont il est complètement différent : des produits parfaits de l'aristocratie. Autrement dit, des adolescents qui vivent dans un monde de luxe et de préjugés. Ces mêmes adolescents ne se gênent pas pour lui témoigner du mépris. En effet, à son grand dam, ses origines arabes l'empêchent de passer inaperçu. On peut donc se demander comment Emara fera pour, d'une part, sympathiser avec la coqueluche de l'établissement et, d'autre part, faire succomber l'élève qui est, à première vue, le plus pieux et le plus fermé d'esprit de l'internat. • • • « Évidemment, vous voulez faire les choses en grand, alors vous m'envoyez dans une école aux frais plus élevés qu'un hôtel à Saint-Tropez pour que j'aille fricoter avec de bourges pétés de thunes. » NDA : c'était involontaire mais cette histoire a complètement une atmosphère de dark academia

À moins qu'il en ait une, petite, à raconter. J'ai dit petite ? Je voulais dire moyenne. Quoique... relativement moyenne. Même un peu longue. Après réflexion, je mettrais des jours à vous la raconter. Si vous êtes prêt à l'écouter, bien sûr... À écouter l'histoire du sang-mêlé le plus audacieux de la vallée. avec -> des personnages inventés par l'auteure -> des clans inventés par l'auteure -> des territoires inventés par l'auteure NDLR : il est évident que l'auteure ne gardera pas le titre ci-dessus, étant donné son absurdité et son manque de style (mais pour l'instant, elle cherche encore)

« j'aime imaginer qu'on jette mes cendres au-dessus de ces vues splendides » « je corresponds avec moi-même pour combler le vide » esnar, trop tard tellement tard et on s'en voudra longtemps

conversation avec sarian : vous : je viens de me rendre compte que j'ai pas ton numéro

Je crois que je ne l'ai pas senti venir. C'était agréable parce que c'était un sentiment nouveau, une obsession qui grandissait chaque jour un peu plus. C'était aussi désagréable parce que que je voyais bien qu'il en avait rien à foutre de moi.

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