Pourquoi Samantha et pas une autre a-t-elle été prise en chasse par l'Ombre ? D'où vient d'ailleurs cette mystérieuse entité ? Qui est-elle réellement ? Dans ce deuxième oppus de Populaire, tous les secrets les plus sombres vous sont dévoilés. ⚠ Commencez par lire "Populaire", actuellement disponible dans mes oeuvres.

Un recueil de nouvelles qui vous fera pleurer, rire, sourire, aimer la vie, aimer la mort et surtout réaliser des choses que peut être vous n'aviez pas comprises jusqu'ici.

Marguerite, jeune fille du genre menue et planche à pain, quitte pour la première fois sa province natale pour rejoindre Paris, où ses parents lui ont trouvé un emploi de femme de chambre. Cette jeune fille, ayant, étrangement, les mains encore intactes, et une voix magnifique, va se voir obligée de donner des cours de chant aux fils des nobles chez qui elle travaille, Oliver, surnommé Mister Prétentieux par tous les domestiques. Tomberont-ils sous le charme l'un de l'autre ? Pourront-ils seulement s'aimer, dans une époque où un noble ne peut aimer une simple domestique ? Sauf si un secret venait changer la donne... Bonne lecture ! Je tiens à préciser que j'écris ce livre pour le plaisir. Il contient sûrement quelques d'anachronisme ou situations irréalistes pour l'époque. Cela dit je ne suis pas une spécialiste niveau histoire, aussi je tente de faire de mon mieux et je vous demande de l'indulgence. J'espère que cela ne vous gâchera pas le plaisir de la lecture :)

Dylan est le bad boy par excellence. Un pari l'avait contraint à coucher avec toutes les filles vierges du lycée, pari qu'il avait remporté haut la main. Depuis, celui-ci ne tient plus, mais Dylan s'amuse à le perpétuer dès qu'une nouvelle vierge fait son apparition. Angel, jeune vierge et fière de l'être, arrive dans le lycée suite à la fermeture de son précédent établissement. Vite mise au courant de la situation, elle décide de faire payer à Dylan ses frasques, scandalisée par sa conduite. Elle est belle et séduisante, et Dylan ne manquera pas de s'intéresser à elle. Elle rentre donc dans son jeu, quitte à s'y laisser prendre... Quand les champs de bataille sont les conversations, quand les armes sont des mots et que les deux adversaires ont la répartie prompte, la guerre ne risque pas d'être gagnée d'avance.

"Elle fumait. Elle fumait beaucoup. Et la cigarette ça vous consume. Mais la cigarette ne la consumait pas, elle. Elle la faisait resplendir, la cigarette. La cigarette, c'était son arme mais la cigarette, elle n'était rien sans elle, et c'était là qu'était le problème." À un ami, un vrai #L