La perte d'un être cher vous consume petit à petit de l'intérieur, vous perdez le contrôle de votre vie, votre cerveau ne fait plus la différence entre le bien et le mal, le douloureux et l'agréable. Vous avez l'impression de ne plus rien ressentir a part cette lame qui s'est installé dans votre cœur depuis la disparition de cette personne. Imaginez alors la douleur que vous pouvez ressentir quand on vous dit que cette personne n'est finalement pas morte mais que vous ne pouvez pas aller la retrouver et qu'elle a perdus totalement la mémoire ? Cette douleur là prend le relais de la première pour vous achever totalement. Harry est vous, il est celui qui a perdus un être cher, qui soufre depuis 1 an et à qui on annonce que Louis vit mais qu'il ne se souvient plus de lui. On lui dit qu'il doit accepter ça comme un cadeau de la Nation. Les deux jeunes hommes arriveront-ils à supporter toutes ces conditions lourdes de conséquences qui gardent en vie Louis ? Où cela sera-t-il trop pour eux après tout ce qu'ils ont vécu ?

"Les gens pensent qu'une âme sœur est leur association parfaite, et tout le monde lui court après. En fait, l'âme sœur, la vraie, est un miroir, c'est la personne qui te montre tout ce qui t'entrave, qui t'amène à te contempler toi-même afin que tu puisses changer des choses dans ta propre existence." Elizabeth Gilbert. Cette fiction n'est pas la mienne mais celle de @zerriesgap qui m'a donné son autorisation pour la traduire (https://www.wattpad.com/story/7528354) MEILLEUR RANG : #1 en Fanfiction.

Bobbie Helling a intégré l'université et a découvert de nouvelles expériences. Du genre aimable, elle détient un précieux sourire qui lui fait gagner la sympathie de tout le monde, excepté de ce garçon de dernière année, à l'air sérieux, tatoué de la tête aux pieds, et qui, dès qu'on le voit, attire l'attention. Quand Bobbie est entrée dans le monde d'Harry, un monde violent, rempli d'addictions, de jalousies, et de choses qu'elle n'aurait jamais pu imaginer, elle a voulu l'aider, le sauver avant qu'elle ne soit perdu, aussi perdu que lui.

Ce qui se passe dans le camp, reste dans le camp.

Je m'étais toujours faite une image fixe de l'université. Une image idéale, que l'on voit dans le films ou dans les séries. Vous savez, ce genre de séries où nous partageons un appartement avec nos amis, où nous faisons la fête tous les week-ends, où nous sortons en boite pour boire et profiter de notre jeunesse et malgré tout ça, nos résultats sont excellents. Vous savez, ce genre de séries où tout va bien, la vie est belle et les oiseaux chantent. mais j'étais à des années lumières de la réalité. Certainement la naïveté de l'enfance... Il y avait lui. Un de mes colocataires. Insupportable, mystérieux, borné, intimidant mais surtout attirant. Harry Styles.