Si l'ambition suprême est la mémoire collective, la hantise est l'oubli. Peu importe la mort, elle viendra. Peu importe la guerre, on ne la refuse pas. Peu importe le sacrifice,chacun l'accepte (la puissante famille Touré en offre la plus noble illustration). Peu importe la souffrance physique, elle est le lot de tous(de Sylvain Tesson) Sokhna Maimouna Fall,mieux que quiconque la comprend car sa hantise ne se limite pas seulement à l'échec de la mission qui lui a été confié :être la digne fille de sa mère et protéger ardemment sa petite sœur de ses démons qui semblent la hanter depuis sa naissance. Liée à Ibrahima Khalil ,cadet de la famille Touré par le plus grand des hasards ,sa hantise est profonde,elle est encrée en elle et la poursuit telle son ombre... Entre l'amour et les secrets morbides qui façonnent les Touré,où se situera sa hantise ? En sera t'elle délivrée ou prisonnière ?

Lorsque son père, un journaliste intègre, est assassiné pour avoir dénoncé les crimes des familles les plus puissantes du Sénégal, Mariama Kane fait le serment de venger sa famille et de dévoiler la vérité. Formée par les élites du renseignement, elle revient au pays après dix ans d'exil pour affronter les trois dynasties qui contrôlent tout : les Fall, les Diagne et les Kébé. Sa quête de justice la mène au cœur du cisa , dirigée par Khalid Fall, un homme intègre mais également héritier d'une des familles qu'elle a juré de détruire. Tiraillée entre sa mission et son attirance croissante pour Khalid, Mariama doit naviguer entre mensonges, trahisons et secrets. Tandis que son plan d'infiltration menace de s'effondrer, une question s'impose : peut-elle concilier vengeance et amour, ou devra-t-elle sacrifier l'un pour accomplir son serment ? Dans cette guerre où les alliances se brouillent, Mariama découvre que le prix de la justice est parfois celui du cœur."**

NB: cette chronique est inspirée d'une histoire réelle. «Au Nom de l'Amour» vous offre un récit d'aventures, d'amour, de suspens et de drames. Mais l'histoire phare qui y est relatée et celle de deux amoureux: Hakim et Maïmouna. Hakim aimait Maïmouna d'un amour inconditionnel. Ils étaient de Somone, un beau coin de Mbour. Un beau jour, Hakim reçut une lettre de la part de son amoureuse qui était de l'Université Iba Der Thiam de Thies, une lettre dans laquelle, elle prétendait vouloir mettre fin à leur relation sans raisons concevables. Mais en vrai, c'est parce que son ex copain, Khalil avec qui elle partageait la même localité et la même université avait refait surface. Sous le choc, Hakim se sentit abandonné et trahi. Mais par la suite, la nature lui offrit une de ses plus belles créatures, une «laobé», une jolie saint louisienne qui répondait au nom de Astel avec qui il partageait l'Université Gaston Berger de Saint Louis. Quelques temps après, Maïmouna se trouva face à un cauchemar cabalistique: Elle tomba enceinte de Khalil en plein milieu scolaire. Ce dernier l'abandonna et prit la fuite. Ainsi, sa mère, Mère Penda qui ne rêvait que de la voir passer le rituel honorifique du «Labane» la déshérita quelques temps, tout le monde la critiquait parce qu'un tel acte était comme une injure pour leur tradition et leur religion. Solitaire, Maïmouna voulut retenter sa chance avec Hakim. C'est ainsi qu'elle commença à reconquérir lentement son cœur mais Maïmouna devait pour se faire, passer sur les corps de Astel et de Oscar, le meilleur ami de Hakim.

"Chaînes Invisibles" Qu'est-ce qui nous lie vraiment ? Est-ce l'amour, la famille, ou la société ? Elle et Lui vivent une passion dévorante, mais leurs cœurs sont prisonniers de chaînes que personne ne peut voir. À travers leurs regards, leurs luttes et leurs promesses, ils découvrent que la liberté ne s'obtient qu'en affrontant les peurs, les attentes et les secrets qui les enserrent. Ensemble, ils cherchent à briser ces chaînes, même si cela les consume. Un roman poignant qui explore le poids de l'héritage, le pouvoir de l'amour, et le courage qu'il faut pour s'émanciper de ce qui semble inévitable. « On a tant abusé du regard dans les romans d'amour qu'on a fini par le déconsidérer. C'est à peine si l'on ose dire maintenant que deux êtres se sont aimés parce qu'ils se sont regardés. C'est pourtant comme cela qu'on s'aime et uniquement comme cela. Le reste n'est que le reste, et vient après. Rien n'est plus réel que ces grandes secousses que deux âmes se donnent en échangeant cette étincelle. » Victor Hugo.

Une infirmière voit sa vie bouleversée quand elle bouscule par accident le futur patron de l'hôpital. Rose vient tout juste de décrocher un poste d'infirmière dans un hôpital. Tout se passe pour le mieux, ses patients l'adorent. Mais un jour, elle bouscule Sacha, sans savoir qu'il est le fils du patron de l'hôpital. À partir de ce moment, Rose et Sacha n'auront de cesse de se croiser. Elle, plutôt gaffeuse mais attendrissante. Et lui, froid et distant, mais aussi charmeur et chaleureux quand il le veut. Et s'ils étaient destinés l'un à l'autre ? Couverture réalisée par Ren Tachibana

désormais prête à récupérer ce qu'on lui avait arracher, Laïla va mener une guerre sans pitié

Détruire les Thiare les trois veulent. Protéger l'empire de leur père, le but des cinq fils Thiare. Faire face ou se laisser aller ? Un amour ou l'un rend l'autre meilleur. Un amour ou l'un aide l'autre à grandir. Un amour explosif là où tout a mal commencé. Le cocktail peut s'avérer être délicieux, mais au fond du verre peut s'y trouver du sang. De découvertes à éclats de verre, d'actes barbares à cris déchirants, d'injustices à justice, de violences à actions. Les actes posés ne seront que les conséquences des actes autrefois posés. « Mords-moi je te mordrai. » « Fais moi souffrir je te ferai souffrir. » Bienvenue dans le tunnel aventureux de nos protagonistes. Ce livre sort tout droit de mon imagination. Toute référence à des lieux réels n'est que fictive et toute ressemblance avec des personnes vivantes ou ayant vécues serait totalement fortuite. 🔞 Ce livre est classé mature

"Ici je suis chez moi, Je suis vraiment chez moi. Les hommes que je vois, Les femmes que je croise, M'appellent leur fils Et les enfants leur frère. Le patois qu'on parle est le mien, Les chants que j'entends expriment Des joies et des peines qui sont miennes. L'herbe que je foule reconnaît mes pas. Les chiens n'aboient pas contre moi, Mais ils remuent la queue En signe de reconnaissance. Les oiseaux me saluent au passage Par des chants affectueux. Des coups de pilon m'invitent A me régaler de taro Si mon ventre est creux. . . . Nos gens sont pauvres Mais très simples, très heureux. Je suis simple comme eux Content comme eux Heureux comme eux. Ici je suis chez moi, Je suis vraiment chez moi." VILLAGE NATAL par Jean Louis DONGMO

Les gens disent toujours que la vie est injuste, ils se plaignent toujours... Mais personne n'a dit que la vie serait juste un jour... on doit juste l'accepter. On veut toujours rendre le monde meilleur mais on sait que rien n'est parfait. Alors si vous ne pouviez l'éviter, ce serait mal et lâche à vous de dire ''je ne puis'' lorsque vous sauriez que cela est dans votre destinée. Nul ne peut échapper à son destin, il entraine qui veut, et traine qui ne veut pas... Ainsi je m'en vais vous conter le singulier destin d'une jeune fille sénégalaise. Voici son histoire... Tous droits réservés. Le plagiat est un acte de malhonnêteté intellectuelle passible d'une peine de 3 ans d'emprisonnement et de 300.000 euros d'amende d'après le code de la propriété intellectuelle .