Fiction terminée || Harry vit au fond de l'océan, mais rêve de pouvoir devenir humain. Un jour, il rencontre Louis, Louis qui a les plus jolies jambes de l'univers, Louis dont il tombe amoureux, Louis qui semble être un nouveau monde à lui tout seul. Et surtout, Louis qui va donner à Harry le courage de réaliser son plus grand rêve. Mais à quel prix ? [Image de couverture : Rosketch]

" Je me suis toujours dit que de toute façon, le monde était illogique et que contrairement à tout ce qu'on pouvait dire, non, il ne tournait pas rond. Qu'il y avait des choses totalement indicibles qui s'y déroulaient. Qu'on ne pouvait rien prévoir, rien deviner. " C'est une histoire d'amour. Une histoire d'ombre et de lumière. Où flotte le brouillard.

Louis Tomlinson est un humain qui n'aime plus tellement la vie depuis l'assassinat de sa mère lors de la Nuit Rouge, nuit où la colère des vampires se présente. Depuis ce drame, il est traumatisé et sa haine envers les vampires est extrême. H, un vampire démoniaque et grand chef de la ville veut absolument avoir Louis. Et pour qu'il accepte, il va lui proposer un pacte ; Louis devient son humain et en échange, le vampire retrouve le meurtrier de sa mère. Mais méfiance, H est démoniaque et ne dit pas toute la vérité... Comment réagira Louis en la découvrant ?

Je peux sentir ton cœur à l'intérieur du mien. Je le sens. Je suis en train de perdre la tête. Je le sens. Je sais que je suis juste en train de perdre mon temps, Et j'espère que tu ne me fuiras pas.

/!\ FICTION YAOÏ CONTENANT DU LEMON / FANFICTION LARRY STYLINSON /!\ « Nous sommes de cette étoffe sur laquelle naissent les rêves, et notre petite vie est entourée de sommeil.» - Et pourquoi n'essayes-tu pas ? - Essayer quoi ? - De ressentir. Toute les sensations, les émotions, qu'elles soient dévastatrices comme délectables. Essayer de vivre, en soi. - Il est sot de vivre, quand vivre est une torture. - Malheureusement Shakespeare ne peut donner raison de ta mort, de plus je ne connais pas le numéro des secours. Alors descends tout de suite de là, crétin. Harry s'est lui-même fixé un défi ; aider Louis a ressentir. Que ce soit de la joie, de la rage, de la déception ou même de l'amour. Mais si par mésaventure, ses propres actions se retournaient contre-lui ?

Prostitution, nom féminin (latin prostitutio) : Acte par lequel une personne consent habituellement à pratiquer des rapports sexuels avec un nombre indéterminé d'autres personnes moyennant rémunération. - littéraire ; acte de prostituer, d'avilir, de dégrader quelque chose de respectable. Lorsque le chaos et l'obscurité prennent le dessus, lorsque tout votre monde est réduit à néant, lorsque tout semble se renfermer sur les tenèbres de façon si soudaine et douloureuse qu'elle paraît insupportable, ne cessez pas d'aimer. Amour, nom masculin (latin amor, -oris) : Attirance, affective ou physique, qu'en raison d'une certaine affinité, un être éprouve pour un autre être, auquel il est uni ou qu'il cherche à s'unir par un lien généralement étroit. #DebFic

Voltaire a dit un jour que chaque profession a un vice et un danger qui lui sont attachés. Ce que l'on nous a appris à l'école de police, c'est que le vice des forces de l'ordre était l'alcool ; le danger, se faire tuer. On a tous cru et appris bêtement ces deux certitudes comme si elles allaient dicter notre carrière et notre vie pendant les prochaines années. Seulement ils avaient tord ; tous ceux qui nous l'ont chuchoté, tous ceux qui nous l'ont crié, tous ceux qui l'ont hurlé sur les toits de la caserne, bourrés, pour nous prouver qu'ils avaient raison. Ils avaient tord. Le vice des forces de l'ordre, c'est le mensonge ; le danger, tomber amoureux.

The Blind Game, un jeu qui fait peur mais qui est tentant. Un jeu où tout est permit même les choses les plus folles. Encore faut-il avoir le cran d'y jouer.

Quand j'ouvre les yeux après un long sommeil, je me dis tout le temps qu'il y a pire que moi. Je me dis que j'ai un logement, un très petit logement. Je me dis que j'ai de la nourriture, peu, mais j'en ai. Je me dis que je gagne des sous tout les soirs, pas une grande somme, mais j'en gagne pour survivre tandis que d'autre n'ont rien. Alors, même si ma vie est pourrie, même si je vend mon corps d'homme, même si j'ai tout les soirs mal, je me dis qu'il y a pire que moi, et ça va un peu mieux. Mais j'ai toujours mal. Quand il ouvrait les yeux, où je travaillais, il me regardait et il n'avait plus mal. Il souffrait, il ne disait rien, mais il n'avait plus mal car il me regardait. Moi, Louis Tomlinson, je me sens observé, quand je travaille dans ce bar. Je ne sais pas si il s'agit de ce groupe de motard qui gueule sur un match que diffuse la télévision du bar. Je ne sais pas si il s'agit de ce vieux, qui regarde son verre, attendant que le temps passe. Ou bien si c'est ce jeune, ce jeune garçon avec des longues boucles, des longues jambes et des yeux verts qui m'observent silencieusement.

L'histoire commence à l'envers. Ici, on ne racontera pas le début, on ne racontera pas la rencontre et les temps de l'idylle ; on racontera la fin. La fin stupide d'une histoire pourtant belle, la fin ratée d'une histoire imposteur aux allures d'utopie. Parce que tout a un début et une fin, et que cette fin-là, a malheureusement été précipitée.