Moi : C'EST QUOI VOTRE PROBLÈME ? POURQUOI VOUS NE ME LAISSEZ PAS SORTIR ET VIVRE MA VIE COMME JE LE VEUX ? Une fois de plus, ils m'ignorent et continuent leur discussion comme si je n'existais pas. L'exaspération monte et sans réfléchir, je saisis le premier objet à ma portée et le lance violemment. Cette fois, ils se tournent enfin vers moi. Moi : J'exige une réponse toute de suite Djibril se lève avec son plus grand calme, me dominant de toute sa hauteur. Il pose doucement sa main sur ma joue. Djibril : Écoute petite soeur, on comprend que tu sois énervée mais juste essaie de nous comprendre. On fait tout ça pour ton bien... Moi : Mon bien ? Me forcer à abandonner la fac, m'enfermer ici comme une prisonnière, m'interdire de parler à qui que ce soit, surveiller tous mes faits et gestes... Et après, vous osez me dire que c'est pour mon bien ? Sega frappe du poing sur la table, son regard brûlant de colère...C'est rare de le voir dans cet état. Sega : Tu veux quoi hein ? Qu'on te laisse vivre ta vie et que ce fils de batard ait le champ libre pour te faire du mal ?! Tu vas bien m'écouter Myriam, tu resteras dans cette maison jusqu'à qu'on règle le cas de ce abruti ! Moi : C'est le Sheikh, n'est ce pas ?! Un silence pesant s'installe. Ils échangent un regard sombre. Moi : Je suis au courant de tout... *** Ils voulaient me protéger et moi, je voulais être libre. Si j'avais su que la liberté avait un prix...

𝖤𝗍 𝗌'𝗒 𝗎𝗇𝖾 𝖼𝗁𝗈𝗌𝖾𝗌 𝗍'𝖾𝗌 𝖽𝖾𝗌𝗍𝗂𝗇𝖾́, 𝖺𝗅𝗈𝗋𝗌 𝖾𝗅𝗅𝖾 𝗌𝖾𝗋𝗋𝖺 𝗍𝗂𝖾𝗇𝗇𝖾 𝗆𝖾̂𝗆𝖾 𝗌𝗂 𝗍𝗈𝗎𝗍𝖾 𝗅'𝗁𝗎𝗆𝖺𝗇𝗂𝗍𝖾́ 𝗌'𝗒 𝗈𝗉𝗉𝗈𝗌𝖺𝗂𝗍 ... Zeïna.D ..

Toi et moi, c'était évident. avec PLK

Dolce sort de prison après une longue peine de sept ans, déterminée à laisser derrière elle son passé criminel. Bien qu'elle ait perdu tous ses repères, une bonne amie lui propose de l'héberger, croyant qu'elle a besoin de soutien. Mais c'est sans compter sur le frère de son amie, Damian, qui la déteste à cause de son passé. Il est déterminé à la faire partir, persuadé qu'elle n'a rien changé. Mais Dolce ne se laisse pas faire, tenace et énergique, elle lui fait face. La cohabitation forcée les met bientôt en conflit constant. La tension est palpable entre eux, chacun décidé à prouver qu'il a raison. Alors qu'ils se disputent, quelque chose commence à changer. Les insultes mutuelles deviennent peu à peu des moments d'intimité débridée. Les regards haineux se transforment en désirs secrets. La haine qu'ils se vouent mutuellement est remplacée par autre chose, un sentiment qui les consume de toutes parts.

Sûrement un peu plus abîmée que la veille, mais ça ira tu sais. "La tristesse vient de la solitude du coeur." Montesquieu. /!\ NDA : Cette histoire n'a en aucun cas pour but de romancer/banalisé les pêchers tels que la mixité (homme/femme), la fornication, les relations hors-mariage. En écrivant cette fiction , l'intention est de m'essayer à écrire depuis des points de vue qui diffère les uns des autres et de mettre en lumière des problèmatiques que n'importe qui peut rencontrer/avoir.

* anciennement Énergie Sombre L'amour passionnel. C'était comme ça que les autres qualifiaient ma relation entre Ken et moi. Au début je ne comprenais pas la signification puis je l'ai trouvé sur internet et là j'ai su. J'ai su que cet amour passionnel est souvent destructeur, car au delà du fait que c'est un sentiment intense entre deux êtres éprouvant un coup de foudre, il s'agit de la projection d'un amour idéalisé et fantasmé qui vient combler un manque affectif. S'il existe des passions amoureuses heureuses, il en existe aussi des destructrices. Et Ken et moi en faisions partie...

Aisha 19 ans vivait sa vie normale comme les filles de son âge jusqu'au jour où son père l'annonce qu'il l'a promise à un homme sans son consentement. Et qu'elle devra se marier avec lui. Mais elle est loin de s'imaginer que cet homme est un homme à problème. En réécriture ! c'est gênant j'avais 15 ans désolée

En Réécriture.

On dit du manque qu'il s'estompe avec le temps, les jours qui défilent et les années qui passent. On se rassure comme on peut, on se persuade que demain ce sera moins fort, moins présent, plus flou. Alors on vit, on comble le manque comme on peut, on fait semblant. Jusqu'au jour où l'on s'habitue à l'absence, qui devient la plus fidèle des présences. 𝙰𝚟𝚎𝚛𝚝𝚒𝚜𝚜𝚎𝚖𝚎𝚗𝚝 -« Par propriétés exclusives du droit d'auteur, les utilisations totales ou partielles sont formellement interdites conformément aux articles du code de la propriété intellectuelle: L.111-1 ainsi que L.123-1. © Tous droits réservés.