~ Les femmes sont comme les énigmes qui ne plaisent plus quand on les a devinées. ~ J'ai toujours été d'accord avec cette citation. Pour moi, les filles étaient comme une sorte d'énigme mystérieuse qu'il fallait conquérir puis résoudre. Une fois résolues, elles n'étaient plus attirantes à mes yeux, alors je les éjectais de ma liste aussi vite qu'elles y ont été inscrite. Mais Heaven, cette fille au teint café et à la bouche torturante de désir n'était pas une de ces simples énigmes. Non, c'était une drogue dont je n'avais pas encore étudié de près les effets et dangers. Je ne savais pas tout ce qui m'attendait avec elle... Je ne savais pas que j'allais me battre pour notre survie au sens propre et que du sang salirait mes mains. /!\ TOUS DROITS D'AUTEUR RESERVÉS /!\ /!\ PLAGIAT INTERDIT /!\

Les cours ont commencés depuis une bonne heure, toute la classe est alors en test au moment même que Camille se met dans des états étranges, elle se met à pleurer, à hurler, elle ne cesse de changer de position c'est à dire une fois assise en boule, une fois debout. Sur son visage on peut lire une énorme souffrance qui semble vraiment être insupportable. Mais cette jeune fille de 16 ans est paniquée car elle ignore complètement la cause de sa souffrance qu'elle n'a jamais connue. L'enseignante tente alors à plusieurs reprises de calmer et rassurer Camille, mais en vain la souffrance semble prendre le dessus sur elle. Toute la classe se questionne alors sur la douleur de Camille... Comment Camille va-t-elle s'en sortir ? Découvrez les confidences d'une jeune mère adolescente... #416 dans Roman d'ados le 11/11/2015 #394 Roman pour adolescents le 23/01/2016 #333 Roman pour adolescents le 07/02/2016

Je n'avais que 17 ans lorsque mes frères ont décidé de me marier de force à un gars de la cité, quand Khalid me l'a annoncé je pensais que c'était une blague, du coup j'ai rigoler mais il m'a stoppé net et m'a dit que ce n'en était pas une, il y avait deux gars assis devant moi, je lui ai demander qui était mon futur mari, il m'a montré celui de droite. Je n'ai rien dit et je suis parti dans ma chambre pleurer comme une gamine de 5 ans.

" Dérouté et dégoûté d'la vie quand elle est vexante, Quand on perd un proche d'une manière ou d'une autre ça nous sert d'exemple . On a fait du mal, on a fait du bien, Ça nous servira pour la suite, un mal pour un bien . Pourquoi attendre qu'il y'ait des morts pour resserrer les liens ? Demain sûrement on s'en va, j'prend la vie comme elle vient . Chaque prise de conscience arrive en même temps qu'un drame . "