Dans le lycée d'Oxford, un garçon de terminal s'amuse à draguer des filles par message et à les faire tomber amoureuse de lui. Il leur promet cependant une chose : Si l'une d'elles découvre qui il est, il sera à elle et devra réaliser toutes ses volontés. Mais jusque là, personne n'est parvenu à découvrir son identité. Un soir, ce garçon décide d'envoyer un message à Alyssa, une fille de première, à qui il n'a jamais parlé... "Si tu découvres qui je suis, je serai à toi." Que se passe-t-il lorsqu'un jour, un mystérieux garçon vous propose de jouer à un jeu sordide dont vous ignorez les proportions ? © CETTE FICTION EST DISPONIBLE EN LIVRE DEPUIS 2016. Plus de 100 000 lecteurs !

-Libère moi. -Te libérer de quoi Mia? -De cette connerie, libère moi de cette connerie... *** J'espère que ma fiction vous plaira, bonne lecture :)

Je m'étais toujours faite une image fixe de l'université. Une image idéale, que l'on voit dans le films ou dans les séries. Vous savez, ce genre de séries où nous partageons un appartement avec nos amis, où nous faisons la fête tous les week-ends, où nous sortons en boite pour boire et profiter de notre jeunesse et malgré tout ça, nos résultats sont excellents. Vous savez, ce genre de séries où tout va bien, la vie est belle et les oiseaux chantent. mais j'étais à des années lumières de la réalité. Certainement la naïveté de l'enfance... Il y avait lui. Un de mes colocataires. Insupportable, mystérieux, borné, intimidant mais surtout attirant. Harry Styles.

Voltaire a dit un jour que chaque profession a un vice et un danger qui lui sont attachés. Ce que l'on nous a appris à l'école de police, c'est que le vice des forces de l'ordre était l'alcool ; le danger, se faire tuer. On a tous cru et appris bêtement ces deux certitudes comme si elles allaient dicter notre carrière et notre vie pendant les prochaines années. Seulement ils avaient tord ; tous ceux qui nous l'ont chuchoté, tous ceux qui nous l'ont crié, tous ceux qui l'ont hurlé sur les toits de la caserne, bourrés, pour nous prouver qu'ils avaient raison. Ils avaient tord. Le vice des forces de l'ordre, c'est le mensonge ; le danger, tomber amoureux.