ANCIENNEMENT "Georges". Le titre est modifié en raison de la publication aux Éditions Hachette Romans le 5 septembre 2018 Priam aborde son année de terminale avec appréhension. Installé dans sa petite routine, il se demande si sa vie peut être plus basique. L'arrivée de Georges dans sa vie, un garçon comme lui, sans secrets apparents l'entraîne dans un tourbillon de questions sur sa propre identité. Georges n'est pas qu'un prénom, Georges est un monde. "Georges. C'était à la fois tellement banal et peu commun. À l'heure où ma classe était composée de trois Maxime, deux Enzo et quatre Lucas, Georges résonnait différemment : vieux, royal. Cela ne lui correspondait pas. Le gars qui avait débarqué dans ma chambre par ma fenêtre et fait mes maths avait plus l'allure d'un Léo, à la limite d'un Nathan, voire si on veut rester dans le délire des prénoms vieillots d'un Lucien. Mais certainement pas l'allure d'un Georges." Les chapitres 5 et plus ne sont plus disponibles en raison de la publication prochaine du livre.

Mon but était de venger mon frère, mais sa folie m'a conduit à l'asile. Ici, la moitié des résidents sont sains d'esprit, mais quand la nuit tombe, les lumières s'éteignent et nous sommes abandonnés à notre sort. Les gardes nous traitent comme des bêtes, et dans l'obscurité, des horreurs insoupçonnées se révèlent, nous laissant seuls face à nos pires craintes dans un monde où la peur et l'isolement règnent en maîtres.

Angie sort de l'hôpital après six longs mois. Elle est la seule survivante à l'accident de voiture de sa famille, et ne trouve plus goût à la vie depuis. Elle démarre une toute nouvelle vie, loin de New York et de son passé. Mais cette nouvelle vie n'est qu'un mensonge. Elle les rencontre, eux. Elle le rencontre, lui, et perd le contrôle sans même s'en rendre compte.

Prologue: C'était aujourd'hui, enfin ce jour est arriver, je l'attendait depuis si longtemps! C'était en 2010, quand je l'ai accompagné à son audition. C'est depuis ce jour là que nous nous sommes éloignés, enfin, qu'il s'est éloigné de moi. Il y à une semaine, j'ai reçu un texto, ce texto; Harry: Salut :TP (Ton prénom): ça commence à faire un bail! Es-tu disponible samedi? Le 6? J'aimerais tellement te revoir. Un dîner sa te dit? Si tu es d'accord, rejoint moi samedi à 20h30 dans ton restaurant préféré, tu te souviens? Répond moi vite, please. Styles, xoxo Et ce jour est donc aujourd'hui. Je me prépare en vitesse, jean, petit gilet avec des sandales. Un petit maquillage discret ne fais pas de mal, et je n'oublie pas de mettre mon parfum qu'il aime tant. Qu'il aimais tant. MERDE! Je suis déjà en retard! Un dernier petit regard dans le miroir, puis me voilà à courir dans les rues blindés de Londres. A côté de ce magnifique le restaurant, le Babylon Restaurant, un banc où je vit cette grande silhouette, mince. Mon cœur bat à 1000 à l'heure, tellement que j'ai l'impression qu'il pourrais sortir de ma poitrine d'une minute à l'autre. C'est lui, c'est sur. Je m'approche, de plus en plus, le voilà assis, devant moi, enfin. Venu tout en noir, pour changer d'ailleurs, avec ses lunettes sur le nez, et son autre pair de lunettes sur son tee-shirt, je ne comprendrais jamais ce garçon . Il se lève, et tout sourire me dit: ... ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- C'est la première fois que j'écrit quelque chose, n'hésitez pas à dire ce que vous pensez!

« Tu vas bien trop loin, chéri, parce qu'il n'y a pas de "gay" dans "Dis-ney" et il n'y en aura jamais. Tu n'es pas une demoiselle. Tu es peut être en détresse mais je ne te sauverais pas. Sauve toi tout seul. »