L'annonce de sa maladie nous a tous anéanti. En stade terminale, les médecins n'ont rien pu faire lui, il était trop tard. La maladie l'a emporté quelques mois après. Il nous a laissé seul dans ce monde sans aucun repère. Il était notre repère, notre modèle. Jamais j'aurais pu imaginé que le destin serait ainsi. La mort de mon père nous a tous changé mais surtout mes frères qui n'ont pas supporté la nouvelle et qui sont vite tombés dans la délinquance. Moi Sofia, jeune femme de 20 ans, j'ai dû me construire avec le manque de mon père et un mari qu'on m'avait imposé.

_{Cette histoire est en correction. Donc, pour ceux qui l'avaient déjà terminée, s'il arrive que vous vous perdez dans une seconde lecture, sachez que je suis entrain de la reécrire petit à petit. Puisque je l'avais écrite juste en un coup de tête (alors que j'étais à fond dans les études), les fautes d'orthographes et certains termes ne m'ont pas plus quand je me suis mise à relire, aussi je n'aimais pas tellement la fin car elle sonnait tragique pour un personnage; ce qui m'a poussé à la reécrire. }_ Entre une vie remplie d'épreuves, une vie familiale pleine de péripéties, une vie amoureuse pleine de suspens, mais surtout , un long cheminement vers la lumière de l'islam; je vous invite à lire l'histoire de Djamila. Une histoire que j'écris avec tant d'amour , et qui n'a qu'un seul but;renforcer notre foi et nous prouver qu'on peut faire des péchés aussi nombreux que l'écume de la mer, mais qu'Allah accepte toujours le repentir de Ses serviteurs. J'invite mes soeurs (frères) en Allah de lire l'histoire de cette jeune fille qui vivait d'abord dans le haram puis repentie auprès d'Allah. Ne dit-on pas que le meilleur des pêcheurs est celui qui se repent?! Ps: il ne s'agit pas de mon histoire.

" Et il en a toujours été ainsi de l' amour, il ne connaît sa véritable profondeur qu' à l' instant de la séparation. " Le Prophète (1923) Khalil Gibran Une fleur peut-elle se nourrir de larmes ? Sans doutes aurais-je dû tenter l'expérience et voir évoluer ma peine au travers de quelques pétales. Qui sait ? Je serais peut-être devenus une de ces dames légendaires que l'on admire ou que l'on plains... Qui a dis que les cœurs oubliaient la douleur ? ô toi qui était mon monde, toi qui était mes années, tu as volé mon bonheur et sans pitié, tu m'a brisé... Mettez donc des limites à ce qui pourrais causer ma perte, car je ne sortirais pas indemne de cette séparation soudaine, qui aurais pu un jour imaginer que je sois à ce point éprise ? Mettez donc des limites à ce qui pourrais causer ma perte, sans quoi je risquerais de me noyer dans ce flot de malheurs qui me guette... ( PLAGIAT INTERDIT )