Ce monde n'était pas fait pour nous, ce monde nous méprisais. La révolution faisait ses premiers pas, des pas silencieux mais dangereux, des pas fermes et déterminées, des pas au rythmes de nos cœurs. Parceque le combat ne faisait que débuter, la mort à nos portes, les chaînes à nos chevilles, nous femmes de ce monde. Les hommes nous devaient la liberté, c'était soit cela, soit la fin pour nous tous.