Il y a plusieurs mois, j'ai lu un livre un peu bidon dont je n'ai pas retenu le titre. Cependant, ce que disait le personnage principal m'a fait réfléchir. Pour lui, tout le monde rencontrait sa propre tragédie tôt ou tard. Un truc qui t'arrivait, qui bouleversait ta vie. Cet événement impactait tes proches, tous ceux qui se trouvaient autour de toi. Mais seulement pour une durée limitée dans le temps. Ce n'est pas leur tragédie, c'est la tienne. La tienne Louis. Ils ne vivent pas avec ce poids chaque jour. Leurs vies continuent, pendant que la tienne se met à freiner. « Notre existence à tous, aussi médiocre et banale soit-elle, est vouée à connaître un point de basculement extraordinaire - une simple rencontre qui, à elle seule, provoquera tous les évènements importants de notre vie. » Cette citation que j'avais surlignée, la trouvant intéressante, a pris tout son sens lorsque Elena s'est écroulée devant mes yeux. Pendant que mes mains essayaient de la secourir, mes yeux ne pouvaient s'empêcher d'examiner le sang s'étendre sur le sol du magasin du coin. Et étrangement, pendant qu'elle était en train de mourir, j'ai repensé à ce livre à la con, et au fait que ma tragédie était en train de se produire.

Louis, 22 ans, se fait voler le rôle qu'il convoitait dans une pièce de théâtre. Le dit voleur se fait une place dans sa vie, et pousse tout ce qu'il pensait acquis à se révéler finalement sous son vrai jour. Le jeune homme plonge alors dans le doux et délicieux déchirement de son cœur entre l'artiste et le fleuriste. .- ♡- ♡- ♡- ♡. /!\Contient du citron / smut / lemon. Pas uniquement du Larry, vous serez prévenu, ne m'incendiez pas dans les commentaires/!\ .- ♡- ♡- ♡- ♡. Fanfiction Larry et Zouis .-♡-♡-♡-♡-♡.

"Reste," chuchote désespérément Harry en pressant ses lèvres sur la tempe de Louis, comme s'il pouvait soulager d'une manière ou d'une autre la douleur qui y fleurissait, mais il ne pouvait pas la stopper, et peu importe ses efforts, il ne peut pas le faire rester. Version originale écrite par peachminh. #tradlarry

Harry et Louis pensent être deux lycéens qui se détestent alors qu'ils ne se sont jamais adressés la parole. Enfin, jusqu'au jour où ils se retrouvent malencontreusement en quarantaine ensemble dans leur chambre lors d'un voyage scolaire. Coincés entre quatre murs ensemble pour une durée indéterminée, c'est peut-être le moment pour commencer à parler.

"Me voilà donc aujourd'hui, six ans plus tard, divorcé, père, et encore amoureux de Harry." #WIWYMfic @PhilPlumeFic #63 Fanfiction - Le 13/11/2017 #51 Fanfiction - Le 14/11/2017 #42 Fanfiction - Le 23/11/2017 #32 Fanfiction - Le 08/12/2017 #28 Fanfiction - Le 09/12/2017

Il fait noir. C'est la première fois que j'entre dans cette pièce. Debout sur le pas de la porte, je tâtonne le mur pour trouver l'interrupteur. Et quand la lumière s'allume, je crois apercevoir du coin de l'oeil une ombre s'échapper dans l'aire sombre du grenier. Un rat, peut-être. D'un pas prudent, je descends les marches en bois de cet escalier antique. Ça sent vraiment mauvais - comme si on a laissé pourrir ou brûler quelque chose, ici. Observant autour de moi, une sensation étrange me parcourt l'échine. L'atmosphère devient soudainement lourde et hostile - j'ai l'impression de m'introduire en terre interdite, et surtout, que l'on ne m'y veut absolument pas. Et si je ne me persuadais pas que ce n'est que mon imagination qui fait des siennes, je jurerais que quelqu'un m'observe. " Harold ... " Quoi ? Je sursaute en me retournant brusquement-et au même instant, un souffle léger et chaud effleure mon visage. Puis plus rien. Une voix vient de me murmurer à l'oreille, je n'ai pas rêvé ! Ne sois pas stupide, Louis. Il n'y a personne d'autre que toi, ici. Evidemment. J'ai toujours détesté l'obscurité, alors très vite, je réalise que ce n'est que mon subconscient qui me joue des sales tours. Ce grenier est tout ce qu'il y a de plus vide. Il n'y a personne d'autre que moi, ici. Dans le Nouveau Testament, St. Jean dit : " Il ne faut pas voir pour croire, il faut croire pour voir. " - p.20 versés 19 - 29

«La pire misère du coeur n'est pas de saigner mais d'être paralysé. » -Paul Bourget Harry est heureux lorsque sa mère lui annonce qu'ils vont passer les vacances d'été en Californie avec une amie d'enfance qu'elle a retrouvé. Cette amie d'enfance n'est autre que Jay, une mère dévouée à ses enfants qui semblent tous très heureux. Enfin, tous à part un qui ne respire plus la joie de vivre et qui va directement intriguer Harry. "Je comprends maintenant pourquoi Louis m'a dit que cette chanson était sa préférée. Peter Pan peut voler, courir, se déplacer. Lui est paralysé. Et son corps est son seul Pays Imaginaire." ... Cover by: @zoeyxtkop #ParalysieFic sur Twitter

FICTION TERMINÉE - Un soir, Ari, fils d'un riche commerçant de Pompéi, rencontre un étrange jeune homme qui se promène comme lui aux alentours de la ville. Quelques jours plus tard, il tombe à nouveau nez à nez avec lui dans une maison close où le garçon se prostitue. Peu à peu, ils vont apprendre à se connaître et à s'aimer. Pourtant, leur différence de classe sociale risque de les éloigner, et le Vésuve au loin fait gronder la terre. Mais si, malgré tout, l'amour était plus fort que tout ?