sacré univers
on s'sourit parce qu'on pleure, et on pleure parce qu'on s'meurt (mais on ne veut pas mourir, aidez-nous, s'il vous plait) © mourire | mars 2018 ps; quelques emprunts d'mots et d'jolies phrases à fauve
on s'sourit parce qu'on pleure, et on pleure parce qu'on s'meurt (mais on ne veut pas mourir, aidez-nous, s'il vous plait) © mourire | mars 2018 ps; quelques emprunts d'mots et d'jolies phrases à fauve
Samuel s'enfuit, Samuel s'estompe, Samuel disparaît. Samuel s'emmure dans les sombres secrets qu'il entretient aux côtés d'Aris, n'offrant à Rory que des murmures indistincts pour combler son inquiétude. Et Rory ne comprend pas, ne sait pas s'il doit essayer. Une chose est sûre, Samuel ne lui sourit plus. Pourtant, Ro...
L'internat est un cauchemar pour beaucoup, mais tout change lorsqu'il le rencontre. Camille, un nom à consonance féminine appartenant pourtant à un adolescent aux cheveux blonds et aux yeux verts. Un sourire lui dévorant la moitié du visage, une moue enjôleuse, une cigarette à la bouche, il va bouleverser son monde, b...
Rudy est une véritable éponge à sentiments : toutes les émotions que les gens ne réussissent pas à filtrer, il les encaisse, les combine aux siennes et laisse son organisme les absorber jusqu'à ce qu'il soit contraint de coexister avec. Empathe, hypersensible, définitivement atteint de ce que l'on aime appeler le synd...
Alors qu'ils sont âgés de cinq ans, Rory et Samuel se retrouvent à emménager l'un en face de l'autre, seulement séparés par un bandeau de bitume crevassé. Tous les jours, Rory sourit à Samuel. Et tous les jours, Samuel ne lui rend qu'un rictus amer qu'il prend à peine le temps de grimacer. Les années passent, et Rory...
et, la musique se jouait, le vinyle tournait et Anna se laissait tomber sur son lit, les yeux fixant le plafond. «à quoi ça sert la vie?»
Lüzi et Cassandre sur le toit d'une maison. La chaleur d'été d'un mois d'août étouffant. Deux garçons qui observent la vie ; la mort ; et leurs derniers espoirs. Une petite histoire d'amour, une petite leçon d'humanité, un petit bout de ciel au dessus de votre tête... © - eliopsis / 28 août 2018
- ̗̀ SOUS CONTRAT D'ÉDITION et PUBLIÉ aux éditions Hachette Lab ̖́- Anciennement publié sous le nom de "29 LETTRES". Cher lecteur, Un matin en me réveillant, je me suis dit : « J'aimerais avoir une correspondance avec quelqu'un. » Une vraie de vrai, avec des mots griffonnés sur des couches de papier, le stylo grat...
« On peut s'aider soi-même. Ou alors on peut crever dans notre coin, car jamais personne n'aura la force de nous tendre la main. » Après tout, qui n'a jamais rêvé de participer à un grand show, retransmis aux quatre coins du monde ? De voyager, chaque semaine, dans un pays différent ? En s'inscrivant au concours, Stua...
Au final, que sommes-nous ? Niel le sait. Elle le sait, parce que les mots le lui ont dit. Tout simplement. #210 dans Fiction Générale (28.08.2016) © Je suis un paradoxe. | 2016 #JeSuisResponsableDeCeQueVousLisez
Atteinte d'une mystérieuse maladie, Anna ne connaît que les murs de l'institut. Elle rêve de découvrir ce fameux monde extérieur qu'on dit trop dangereux pour elle. Malgré les étranges symptômes qu'elle développe, Anna va partir à la recherche de la vérité. *** Anna a toujours vécu entre les murs de l'institut. Cet...
Il n'attendait rien. Il est arrivé. Deux univers s'affrontent. Rien ne va plus, ne misez plus. • Pour un trajet de dix minutes, tout au plus. • 112 mots par partie | Je suis un paradoxe | décembre 2017 ©
On y a cru, on était beaux, beaux comme des cons. Des mots courts, des mots faibles, ou parfois forts, inexistants. Des mots, tout simplement. #108 dans Nouvelle (17.06.2017) Anciennement "Je suis mort, mais je revis" © JSUP
La vie de Léonard est faite de noms de plantes. Et de plein mots latin. C'est peut-être les seules choses constantes, dans sa vie. Parce que Léonard, il ne sait pas ce qu'il veut. Mais il sait ce qu'il ne veut pas. #32 dans Nouvelles (22.07.17) © JSUP | collection « Astéroïde » juillet 2017
Ce n'est pas qu'une histoire de cônes et de bâtonnets. ⠨⠉⠑ ⠝'⠑⠎⠞ ⠏⠁⠎ ⠟⠥'⠥⠝⠑ ⠓⠊⠎⠞⠕⠊⠗⠑ ⠙⠑ ⠉⠹⠝⠑⠎ ⠑⠞ ⠙⠑ ⠃⠡⠞⠕⠝⠝⠑⠞⠎. Gagnant du concours Open Ur Mind dans la catégorie Poésie (2.09.2017) #43 dans Poésie (18.07.17) © JSUP | juin 2017 collection « Astéroïde »
Timothée n'aime pas les légumes. Il leur trouve trop de couleurs. Timothée n'aime pas les saisons. Il n'en voit pas l'intérêt. Timothée n'aime pas l'école. Il n'y fait que s'ennuyer. Timothée n'aime pas grand chose. Si ce n'est dessiner des planètes. Pour partir à la découverte de ses envies, d...
« Un » ne serait qu'un fantôme, qu'une âme parmi des milliers. « Un » en serait l'énième épitome, un être on ne peut plus familier. La neige apaise les cœurs, sans pour autant arriver à les enlever. Il atténue cette rancœur, ce malheur, et exalte de ses yeux le sommet d'éternité. #29 in Paranormal (13.08.2017) ◊...
Eden, quatre lettres, pour un faible corps enfermant son mal-être, Eden, personne ne le sait, mais tombé entre les météores jamais la vie ne l'attirait. Qui es-tu, Eden ? #10 in Paranormal (15.12.2016) ◊ Les Nuits Insomniaques | 2 © Je suis un paradoxe | juin 2016
Trois chaises. Une passion. Un monde en perpétuel interaction. Une fille, un garçon, Quelques mots lancés sans confession, Sans se préoccuper de la chaise vide. Qui les regardait. Qui les épiait. Qui les tuait. #3 in Paranormal (23.06.2016) #2 in Paranormal (15.12.2016) Récompensé aux Wattys France 2016 dans la...
Ce n'est pas facile, les relations humaines, Surtout pour un petit garçon qui, dans sa tête, n'a pas vraiment de facilité pour se faire des amis. #156 dans Nouvelles (04.07.2017) © Je suis un paradoxe | 6 Septembre 2016 collection « Astéroïde »
Parce qu'on le perd, un peu plus chaque jour. Et parce que ça nous détruit de le voir dans cet état. Reviens-nous.
Tu sais, si tu ne vis plus, je vais vivre à ta place. Je vivrais pour deux. Pour que même mort, tu puisses toujours vivre, quelque part. En moi, tu vivras toujours. Dans mon cœur. Je le partagerai en deux. Une part pour moi, une part pour toi. Tu n'étais pas heureux dans ta peau, mais je ferai en sorte que tu te plais...