Elle s'appelle Neyla. Flic au caractère bien trempé, née dans les embrouilles, élevée dans le béton. Quand on lui confie une enquête hors norme - traquer un criminel introuvable, sans nom, sans visage - elle est loin d'imaginer ce que ça va réveiller. Des secrets trop bien cachés. Des liens de sang qui blessent. Un regard qui va tout faire basculer. Et si le danger venait de là où elle s'y attendait le moins ? Et si son cœur devenait sa pire faiblesse ? Entre trahisons, silences, sentiments flous et justice, Neyla va devoir choisir. Mais dans cette histoire, rien n'est aussi simple qu'il y paraît... 2016

Si les Mots étaient Femmes, alors ils seraient de l'encre vomi par la fougue des plumes empressées. Ils redessineraient la réalité, ils peaufineraient la femme en faisant ressortir la quintessence de leurs existence. Ce sont des mots, des phrases, des histoires qui se tiennent par la main et chantent un hymne pour ce merveilleux jour. Si les Mots étaient Femmes, c'est la Femme dans toutes ses intégralités, dans son charme, son humour, sa faiblesse et ses tribulations de tous les jours. Si les Mots étaient Femmes un nouveau recueil pour une communauté d'écrivain qui veut s'affirmer encore plus. Marquer le temps avec leurs empreintes et égayer la vie sous l'ombre de la PergolAyiti. Une oeuvre qui transcende. Si les Mots étaient Femmes.

Elle aimait chanter, il aimait écouter. Elle se pensait invisible, sans importance... Enfin, c'est ce que les autres voulaient lui faire croire. Mais elle se trompait. Lui l'avait repérée, il l'avait entendue, et il n'avait pas pu l'oublier. [SHORT STORY] Terminée. (11/2016)

Une jeune femme de la Haute, dont le père perd tout, se retrouve ruinée. Pour retrouver un niveau de vie décent, elle décide de se marier à un homme dont elle ne connaît rien. Dès leur premier regard, une relation électrique va s'installer en être eux, entre haine et désir... Ne vous attendez pas à une midinette en extase devant un homme. Angeline sait ce qu'elle veut et ne se laisse pas marcher sur les pieds...

Lisez l'histoire et vous verrez

Rosalie Adam,17 ans,vient de revenir vivre chez son père qu'elle aime tant.Le problème ? Une belle mère qu'elle déteste,une ville qui lui rappelle trop de mauvais souvenirs,une nouvelle école et lui. Alexander Niels vient d'avoir 19 ans.Il vit dans une énorme villa avec ses amis parce que ses parents ne sont jamais là.Il a tout pour lui : de l'argent,une bande d'amis qu'il connaît par coeur,un physique de mannequin,les filles qu'il veut,... Lui pensait avoir tout ce qu'il voulait,il se trompait. Elle pensait pouvoir fuir ses problèmes,elle se trompait. /!\ projet d'une future correction des fautes d'orthographes et de la tournure des phrases /!\ #263 dans romans d'amour 29/9/16 #238 dans romans d'amour 2/10/16 #214 dans romans d'amour 6/11/16 #133 dans romans d'amour 11/11/16 #112 dans romans d'amour 15/11/16 #100 dans romans d'amour 17/11/16 #79 dans romans d'amour 18/11/16 #76 dans romans d'amour 19/11/16 #64 dans romans d'amour 23/11/16 #58 dans romans d'amour 24/11/16 #18 dans romans d'amour 26/2/2017 #2 dans romans d'amour 5/5/17

«Tu sais ce qui a de pire dans tout ça, Sanon? C'est que personne ne peut me dire comment c'est la mort...» Je me demande comment elle fait pour garder son humour dans une pareille situation. Je ne dis rien, je continue à lui tenir la main. «Je t'aime, tu le sais ça? Je t'ai toujours aimé!» Elle est si patraque. J'ai envie de pleurer, de laisser couler ma tristesse. Mais je ne le ferais pas, pas devant elle. Je dois rester fort. Je lui dois au moins ça. « Moi aussi, je t'aime»

Sa question m'invite à me questionner. Suis-je malade ? Je suis anxieuse, Je m'énerve pour un rien, rien ne m'intéresse, et je n'ai plus l'envie de sourire. Mon cœur palpite. Mes mains tremblent tout en répondant au message de mon ami : « Ça t'est déjà arrivé de ne plus te reconnaître, et d'avoir l'impression que tu es étranger à toi-même. Ça t'est déjà arrivé d'avoir l'intime conviction que tu portes un masque ? » J'ai envie de vomir. J'ouvre grandement la fenêtre pour laisser entrer l'air dans la chambre. « Tous les jours de ma sainte vie... J'ai peur de tout ce qui m'entoure. J'ai peur des taches que l'on me confie. J'ai peur de passer à côté du vrai sens de la vie... J'ai beau hériter de judicieux conseils, mais je peine à savoir qui je suis vraiment. » « Je ne suis pas la seule alors... »

Je reçois un vif coup dans le dos. Je m'écroule au sol péniblement en un rien de temps. Bien de choses se défilent dans ma tête: Je repense à mes parents et la boiteuse relation que j'entretiens avec eux. Je pense à mon frère, avec qui je viens récemment de m'entendre. Mes pensées se dirigent rapidement vers Althéa. J'aurais dû toucher son visage avant de prendre congé d'elle tout à l'heure, elle est si belle... Ma vie entière a été une succession d'échecs, de mise à terre et d'écroulement. Ce n'est pas la première fois qu'on me fait mordre la poussière et je suis certain qu'il y en aura bien d'autres occasions. Le coup vif qu'on m'a administré dans le dos me fait terriblement souffrir. Je me demande qui pourrait bien m'en vouloir à ce point ? Plein d'images se déroulent dans ma tête : la liste des candidats est bien longue en fait. Il y a ce dodu dans ma classe qui m'appelle « sac d'os », ce garçon dans l'église que je fréquente, à qui un jour j'ai eu l'impertinence de dire qu'il avait commis une erreur dans son discours. Je sais, je provoque de l'aversion et du mépris chez les gens... Une autre image se projette dans mon esprit. Oui, je suis certain que c'est lui mon assaillant, mon cher ami Christian !

Il m'arrive de me détester. C'est vrai, j'ai 17 ans et je n'ai toujours pas de copine! La fille que j'aime, la tendre Althéa se fait manipuler par mon idiot d'ami. Mon père me déteste et adore me rendre mal à l'aise et après ce que m'a dit ma mère, je suis pratiquement certain qu'elle aussi partage ce même sentiment. Mais ce soir, après le tout premier verre de whisky de toute ma triste vie, j'ai eu une vision, un ange est venu me souffler ses prodiges conseils. J'ai décidé que les choses dorénavant se feraient autrement. Je n'aiderai plus cet idiot qu'est mon ami Christian à berner Althéa, il ne m'aura plus. Mais, pour ce qui est de mes parents, je ne vais pas pouvoir les contrer, faudrait d'abord que j'arrête d'être le con que je suis...