« si elle n'a pas commencé, au moins nous aurons la chance qu'elle ne se finisse jamais »

C'est l'histoire de Blanche Rodin et de Cormac Papillon. Celle de Cornelia, Arsène, Conan, Balthazar, Barnabé et Jean. Surtout, c'est le récit d'un été pluvieux, rempli de hasards heureux, de soupe de poisson surprise, du premier amour, de homards morts-vivants, de lectures nocturnes, de restaurants sans clim, de chapeaux envolés, d'amitiés invraisemblables, de l'envie de grandir, celle d'être jeune pour toujours et surtout c'est l'histoire de la valse des coussins.

Se faire rejeter juste avant un cours sur les économies monde est assez loin de ma définition du bonheur. Voire très loin. Je n'aurais donc jamais pu imaginer que ça me permette d'imaginer la théorie la plus brève, la plus évidente, et la plus farfelue de toutes mes théories : La Théorie de l'Ennui. Et grâce à elle, plus rien ne sera jamais pareil.

Si June Roberts ne s'était pas sauvée de sa chambre d'hôpital pour aller chercher une boîte de craquelins au fromage, rien de tout cela ne serait arrivé. Elle n'aurait pas vu le garçon haletant sur la civière. Elle n'aurait pas pensé à lui toute la nuit, et elle ne serait pas tombée amoureuse... Peut-être que ça aurait été plus simple. Mais la vie a toujours été compliquée pour June. À sa naissance, elle est née avec une malformation rare au cœur et, depuis ce jour, elle subit des choses qu'aucune adolescente de 16 ans ne devrait subir. Mais June n'est pas du genre à se plaindre. Elle garde la tête haute, quoi qu'il arrive, même en apprenant que ses jours sont comptés... [#61 Roman d'amour - 2 mars 2016]

« Nous ne nous sommes pas vraiment rencontrés, nous nous sommes simplement aperçus. » #645 dans la catégorie "Roman pour Adolescents" le 18/05/17 #377 dans la catégorie "Roman pour Adolescents" le 29/05/17

[SÉLECTION WATTPAD] Pour la première fois de sa vie, Ella se dit qu'elle devrait faire quelque chose de son été. Rester chez elle, faire des allers-retours pour retrouver ses spéculoos et lire ses livres semblent de plus en plus ennuyeux. Les colonies de vacances sont complètes depuis un mois, elle n'a pas assez d'argent ni son permis pour faire un road trip fantastique. Ses amies sont toutes parties en camping. Elle n'attend qu'un petit bonus dans sa vie pour booster ses vacances d'été moroses. Tout semble bien naze avant qu'elle ne décide de se promener dehors, un chapeau de paille sur la tête et une part de pastèque dans les mains. © larmesmauves - 2016

Pastabox renversé, pantalon déchiqueté, front tapé, lèvres percées, bêtises et carrosse. Ça résume assez bien ce qu'a vécu Charlie avec Amalia, franche asiatique détestant tout ce qui n'est pas du théâtre. Charlie est le gars louche qui vit sa vie dans un carrosse et un Super U. Amalia est une jeune fille bizarre qui n'arrête pas d'espérer et qui porte des t-shirts troués. Et quand les deux se rencontrent dans le carrosse du dépôt du lycée, deux mondes opposés se rencontrent, se mélangent et forment une histoire à raconter. © larmesmauves - 2015

"- Pourquoi ? Cette fois, c'est la voix d'Austin qui retentit à mes oreilles. Je me force à le regarder en face. - Parce que tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches ; méprisables et sensuels. Je lui répondis en citant un de mes livres préférés. - Et ça ne m'intéresse pas, finis-je en soufflant. Un éclair d'étonnement passe dans ses yeux, mais très vite il répond sur le même ton : - Ouais, mais toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées. J'écarquille les yeux, surprise qu'il puisse citer la suite des vers d'Alfred de Musset. - Et ça ne nous empêche pas de vous baiser, fini-t-il en souriant, moqueur." Elle, c'est Alexandra, une petite brune aux yeux verts. Juste une fille normale. Elle ne se plaint pas. Elle a horreur des gens qui se plaignent sans cesse de leur sort. Alors elle garde pour elle ses souffrances. Une mère droguée et schizophrène qui s'est suicidée, un père absent jusqu'à ses dix ans et un premier amour décédé dans un malheureux accident de voiture. Souffrances et déception rythme sa vie. Les gens la trouvent parfois grossière, parfois hautaine et parfois prétentieuse. Elle, elle se trouve forte ou pathétique, cela dépend des jours. Lui, c'est Austin. Il a dix-neuf ans, bientôt vingt. Il est suffisant, arrogant, orgueilleux, fier et plein de mépris pour le monde qui l'entoure. Et surtout il semble receler tellement de secrets... Elle le déteste, il la hait. Mais ne dit-on pas qu'il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine? ~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~ Tout droit d'auteur réservé Protégé par dépôt de copyright! Interdiction de copie et de reproduction N'hésitez pas à laisser des commentaires et des critiques et à voter

Nathan Bellamy déteste les stéréotypes. Et pourtant, à presque dix-huit ans, son existence-même est celle de l'adolescent rebel, sarcastique et imprévisible que tout parent sain d'esprit craint d'avoir. Involontairement roi du lycée de Burwell, sa petite ville natale de Virginie du Sud, il aime par-dessus tout se comporter comme le pire des connards, dénué de sympathie. Ca l'amuse, occupe son esprit torturé par l'ennui. Il se qualifie lui même de sans attache, atteint de ce qu'il aime appeler le syndrome du beau et con. Il fait craquer les filles, rêver les garçons et même pleurer sa psy... Mais derrière les répliques cinglantes et les monologues intérieurs comiques, se cache une chose dont il nie absolument toute existence... Un cœur qui bat. Par propriété exclusive de l'auteur, la copie et les utilisations partielles ou totales de son travail sont interdites ; conformément aux articles L.111-1 et L.123-1 du code de la propriété intellectuelle. © Tous Droits Réservés.

« Reviens ... Je t'en supplie ... Reviens ... C'est insupportable sans toi ... » Cette voix est agréable. Et familière également. « Mélissa, s'il te plaît ... » Est-ce mon nom Mélissa ? « Je suis là. Pour toujours. Je suis désolé. Désolé de t'avoir causé ça, désolé d'être stupide, désolé. Mais je ne te demande que de revenir, je t'en prie. Déteste-moi si tu veux mais vie. Mélissa ... » Ça doit être une personne qui m'aime extrêmement fort ... « Ouvre les yeux ... » Comment ? Ne sont-ils pas ouverts depuis le début ?