Toute sa vie a été commandée par son père. Pour lui plaire, Harry a dû se priver de ce qui lui plaît tant: la photographie, cette passion qui le rend si heureux et épanoui. Mais ce dont il n'a jamais pensé, c'est qu'il tomberait sous le charme du comptable de Stylinski, Louis Tomlinson, cet homme si merveilleux, si parfait. - C'est finit. Mais il doit abandonner cette relation, brisant et déchirant les deux hommes absolument fous l'un de l'autre. - Le fils d'Eric Styles, ne peut pas être homosexuel. La peur effroyable contre son père, directeur de la société de mode la plus populaire de Rosewood, et l'amour interdit que porte Harry envers cet homme aux yeux magnifiques, sont-elles réellement deux choses incompatibles ? Histoire terminée. #11 dans la catégorie société 27/08/18 #14 dans la catégorie od 27/07/18 #17 dans la catégorie od 13/07/18 #159 dans la catégorie photographie 29/07/18 Larryzo

J'étais heureux, j'étais bien, j'avais des amis, une petite copine. J'allais à l'école, comme tout les adolescents de cette terre, j'avais des bonnes ou des mauvaises notes, puis tout a basculé quand j'ai appris que mon coeur ne pouvait plus fonctionner. J'ai tout arrêté, j'ai arrêté d'aimer, d'espérer, de croire, de rêver, de rire, de sourire et de vivre. Je vivais à l'hôpital, mon coeur ne tenait que grâce à des médicaments, puis.. Cette star, ce chanteur que tout le monde aime, Harry Styles, à débarqué pendant la visite des hôpitaux, il a débarqué avec ses cheveux long, ses yeux verts, ses mains chaudes et il m'a fait vivre. Je m'appelle Louis Tomlinson, je suis mourant. Il s'appelle Harry Styles, et il m'a rendu vivant.

«-J-j'ai jamais compris pourquoi tu m'appelle comme ça. -Comment ? -Blue... Il sourit tellement que des fossettes s'installèrent sur les côtés de ses lèvres. Son regard se posa sur le sien et il encra ses yeux verts dans ceux du plus jeune; des yeux si beaux, si bleus, si rayonnants, mais ils avaient quelque chose...quelque chose de sinistre; ils étaient brisés. -Peut-être...peut-être pour tes yeux, Blue. » «Les promesses sont faites pour être rompues, l'amour pour être trahi, les cœurs pour être brisés, les souvenirs pour être oubliés et la vie pour la mort. Je ne retiens qu'une chose, personne ne peut me sauver, personne ne peut m'aider. J'aime...j'aime tellement que ça me fait mal, Harry. Je ne peux pas m'en empêcher. Mais je suis si seul et j'ai l'impression que chaque pas...chaque pas me rapproche un peu plus de la fin» -Louis Tomlinson. OU, ~L'histoire où Louis est un adolescent orphelin avec un passé troublant, un avenir peu promettant et une nouvelle vie, chez une nouvelle famille. Et peut-être, peut-être seulement, qu'il tombera sous le charme de son nouveau frère, Harry. Harry Styles.~ Lisez pour découvrir ! (Laissez une chance à cette histoire je vous en supplie !!!! Je fais de mon mieux et j'espère que ça va plaire, mais lisez s'il-vous-plaît !!!!) \\AVERTISSEMENT// : CETTE FICTION CONTIENT PLUSIEURS CARACTÈRES À CONNOTATION SEXUELLE (du lemon) ET DES SUJETS DIFFICILES TELS QUE LE VIOL, L'ABUS, DES PENSÉES SUICIDAIRES, DE LA DROGUE, ETC. NE LISEZ PAS CECI, SI UN SEUL OU PLUSIEURS DES SUJETS SI HAUT POURRAIENT VOUS FAIRE DU MAL, MÊME RIEN QU'UN TOUT PETIT PEU, NE LISEZ PAS, SI ÇA VOUS FERA DU MAL. S'IL-VOUS-PLAÎT.

- Tu es amoureux de lui ? - Oui. - Tu sais que ça va être compliqué Harry.. Il a neuf ans de plus que toi, et.. il, il va bientôt se marier.. - Je sais Zayn, je sais.

PDV Externe. Ils étaient là. Tous là. Réunis dans le salon de Josh, autour de cette table, en train de s'éclater au jeu de la bouteille et à se lancer des défis plus débiles les uns que les autres. Ils étaient pratiquement tous déchirés, plus de la moitié allaient sans doute oublier ce qui se passait le lendemain. Mais ils s'en foutaient. La bouteille tourna encore pour s'arrêter devant Harry. C'est Nate qui lui donna son défi, et juste parce qu'il était complétement bourré et qu'il aimait bien emmerder le monde, il lui demanda de rouler une pelle à son voisin de droite. Louis. Le bouclé s'avança vers le mécheux, ni l'un, ni l'autre n'était complétement déchiré, ils se souviendraient très bien le lendemain de ce qu'il s'était passé ce soir-là. Le cœur du mécheux se mit à battre très rapidement dans sa poitrine, et au moment où le bouclé posa ses lèvres sur les siennes, ce fut l'explosion.

" - C'est bon, tu l'as gagné ton putain de pari, tu l'as réussi. Maintenant casse toi, je veux plus te voir ! - Louis je... - CASSE TOI ! "

Le manque. Ça fait mal, hein ? Ça fait mal au cœur. A la tête. De partout. Tu te noies dans tes larmes, peut-être à l'extérieur pour certains mais pour d'autres, c'est à l'intérieur que ça se passe. T'en es arrivé au point où tu souffres tellement que tu ressens plus rien. Toutes les émotions ont disparues et c'est tout simplement... Vide ? C'est comme quand tu marches sur du sable chaud; il est tellement chaud qu'il devient froid, t'ose plus affronter ce qui te fait du mal, alors la seule chose qui peut te réconforter c'est toi. Et ta conscience. Le manque, c'est une sensation qui tue. Un sentiment qui rase tout à l'intérieur de toi, qui te tord les boyaux et qui te donne envie de t'arracher les tripes pour avoir mal autre part qu'au cœur. One and Only Larry Stylinson Fanfiction

Quand j'ouvre les yeux après un long sommeil, je me dis tout le temps qu'il y a pire que moi. Je me dis que j'ai un logement, un très petit logement. Je me dis que j'ai de la nourriture, peu, mais j'en ai. Je me dis que je gagne des sous tout les soirs, pas une grande somme, mais j'en gagne pour survivre tandis que d'autre n'ont rien. Alors, même si ma vie est pourrie, même si je vend mon corps d'homme, même si j'ai tout les soirs mal, je me dis qu'il y a pire que moi, et ça va un peu mieux. Mais j'ai toujours mal. Quand il ouvrait les yeux, où je travaillais, il me regardait et il n'avait plus mal. Il souffrait, il ne disait rien, mais il n'avait plus mal car il me regardait. Moi, Louis Tomlinson, je me sens observé, quand je travaille dans ce bar. Je ne sais pas si il s'agit de ce groupe de motard qui gueule sur un match que diffuse la télévision du bar. Je ne sais pas si il s'agit de ce vieux, qui regarde son verre, attendant que le temps passe. Ou bien si c'est ce jeune, ce jeune garçon avec des longues boucles, des longues jambes et des yeux verts qui m'observent silencieusement.

Louis s'ennuie en cours. Il n'écoute pas ce qu'explique son professeur de littérature. Il regarde les alentours, les murs. Il regarde les élèves écouter ou dormir, puis son regard s'abat sur son bureau. Il détaille les dessins qu'il y a dessus, il regarde chaque partie mais une phrase le perturbe. Il la regarde, cette phrase est courte, mais en dit long. Cette phrase fait rater un battement à son coeur tellement elle le surprend, tellement elle lui fait mal. Il s'approche et lit une deuxième fois la phrase qui est gravée sur la table de son bureau: " je veux mourir. "

La dispute venait d’éclater de nouveau ; le sujet n’était pas différent, il était seulement abordé avec plus de violence : Louis criait méchamment, même s’il savait qu’Harry ne l’entendrait pas. C’était juste plus fort que lui, il ne pouvait pas retenir sa colère ; colère qu’il n’arrivait pas à contrôler complètement : il était hors de lui. Pourquoi ce garçon aux cheveux bouclés en face de lui refusait simplement de comprendre ? Ce dernier se mit à cet instant à signer précipitamment, tellement rapidement que le plus âgé ne compris que le mot « Arrête », répété plusieurs fois. _Que j’arrête quoi Harry bordel ? jura-t-il à voix haute car il savait que le garçon arriverait malgré tout à lire sur ses lèvres. Tu n’arrives pas à comprendre que je ne me souviens pas ? C’est flou ! Tu es un visage flou dans mes pensées, un visage sans forme que je n’avais jamais vu avant mon réveil dans ce foutu hôpital ! _Stop, murmura alors de façon incertaine la voix du plus jeune. Une voix qui sonna plus grave, tremblante et incertaine que les rares fois où Louis avait pu l’entendre auparavant, une voix qui le prit de court : le mot avait à peine franchis les lèvres roses et brillantes d’Harry, comme s’il n’était pas sûr que ce soit le bon, mais cela avait suffit à dérouter son ami au point qu’il n’ait plus rien à lui hurler. Il détourna alors le regard et secoua la tête, retenant au fond de sa gorge ses cris de rage et de désespoir. Il fit un pas pour sortir de la pièce mais ses jambes cédèrent brusquement, sa tête heurtant le sol de manière sourde. Un choc qu’Harry ne pus entendre, ses yeux embués de larmes tournés vers la fenêtre. - La couverture a été faite par @Listylinson. :)