à lire :)
7 stories
Call me daddy •hs• by harrysthetic
harrysthetic
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"Embrasse-moi, mords ma lèvre ou gémis mon nom, je vais t'enlever ces putains de vêtements." Cette FanFiction contient des passages matures, je ne suis pas responsable de ce que vous lisez. © harrysthetic, tous droits réservés, toute reproduction interdite. Tome 1 : Call me Daddy Tome 2 : Call me Lovely
Fly Higher (A Larry Stylinson FanFiction) by 33Macana
33Macana
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-Oops? -Hi!
Désire moi. by JaimeHarry
JaimeHarry
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Un sentiment, cette tension, ce manque, au fond de vous. Cette chose que vous cherchez mais que vous n'arrivez pas à trouver. Cette sensation dans la ventre, cette brûlure dans la gorge, et ce frissonnement dans tout le corps. Les envies, les fantasmes, les besoins, le désir. Le souffle coupé, les papillonnements, le cœur s'accélérant. Louis se sent vide, quelque chose manque en lui, il a l'impression de n'être pas formé entièrement, qu'une partie manque, en lui. Il n'a que dix-sept ans, il n'a jamais eu de relation, il est souvent seul, les gens disent qu'il est bizarre, étrange. Mais il est humain, il n'est pas sociable, il ne s'intègre pas dans les relations amicales ou amoureuses, il est beaucoup mieux seul, avec ses jeux vidéos et sa télévision. Puis un jour, son grand frère de vingt deux ans, rentre dans une nouvelle école et se fait de nouveaux amis, surtout un, en particulier. Et cet ami, va désirer follement Louis.
La vie est une pute. by JaimeHarry
JaimeHarry
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J'étais heureux, j'étais bien, j'avais des amis, une petite copine. J'allais à l'école, comme tout les adolescents de cette terre, j'avais des bonnes ou des mauvaises notes, puis tout a basculé quand j'ai appris que mon coeur ne pouvait plus fonctionner. J'ai tout arrêté, j'ai arrêté d'aimer, d'espérer, de croire, de rêver, de rire, de sourire et de vivre. Je vivais à l'hôpital, mon coeur ne tenait que grâce à des médicaments, puis.. Cette star, ce chanteur que tout le monde aime, Harry Styles, à débarqué pendant la visite des hôpitaux, il a débarqué avec ses cheveux long, ses yeux verts, ses mains chaudes et il m'a fait vivre. Je m'appelle Louis Tomlinson, je suis mourant. Il s'appelle Harry Styles, et il m'a rendu vivant.
Le bureau. by JaimeHarry
JaimeHarry
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Louis s'ennuie en cours. Il n'écoute pas ce qu'explique son professeur de littérature. Il regarde les alentours, les murs. Il regarde les élèves écouter ou dormir, puis son regard s'abat sur son bureau. Il détaille les dessins qu'il y a dessus, il regarde chaque partie mais une phrase le perturbe. Il la regarde, cette phrase est courte, mais en dit long. Cette phrase fait rater un battement à son coeur tellement elle le surprend, tellement elle lui fait mal. Il s'approche et lit une deuxième fois la phrase qui est gravée sur la table de son bureau: " je veux mourir. "
Juste, comme ça. by JaimeHarry
JaimeHarry
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Ce n'est pas une fiction, c'est simplement un journal intime. Je vais écrire ce qu'il me vient par la tête, je vous préviendrais quand je posterais un chapitre, vous pouvez me poser des questions sur moi ou les personnages, je vais vous racontez des choses, vous pouvez me demander des conseils tout ça.. J'écrirais des OS LARRY.. En gros, c'est juste comme ça.
Obsession. by JaimeHarry
JaimeHarry
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Quand j'ouvre les yeux après un long sommeil, je me dis tout le temps qu'il y a pire que moi. Je me dis que j'ai un logement, un très petit logement. Je me dis que j'ai de la nourriture, peu, mais j'en ai. Je me dis que je gagne des sous tout les soirs, pas une grande somme, mais j'en gagne pour survivre tandis que d'autre n'ont rien. Alors, même si ma vie est pourrie, même si je vend mon corps d'homme, même si j'ai tout les soirs mal, je me dis qu'il y a pire que moi, et ça va un peu mieux. Mais j'ai toujours mal. Quand il ouvrait les yeux, où je travaillais, il me regardait et il n'avait plus mal. Il souffrait, il ne disait rien, mais il n'avait plus mal car il me regardait. Moi, Louis Tomlinson, je me sens observé, quand je travaille dans ce bar. Je ne sais pas si il s'agit de ce groupe de motard qui gueule sur un match que diffuse la télévision du bar. Je ne sais pas si il s'agit de ce vieux, qui regarde son verre, attendant que le temps passe. Ou bien si c'est ce jeune, ce jeune garçon avec des longues boucles, des longues jambes et des yeux verts qui m'observent silencieusement.